Épilogue. "Cinq ans plus tard"

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-ADDYSON-

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-ADDYSON-

-       Buen día señora, su artículo será estudiado en profundidad por la tarde. (Bonne journée madame, votre article sera étudié en profondeur dans l'après-midi.)

-       Muchas gracias señorita Romero. (Merci beaucoup mademoiselle Romero.)

La journaliste avec laquelle j'avais rendez-vous quittait mon bureau en fermant la porte derrière elle. Comme prévu, dès que j'avais obtenu mon bac j'étais partit m'installer ici, en Espagne en emportant le Romero's Redact avec moi, ainsi que Lucas et Khole. Comme l'entreprise m'était revenue de droit j'en étais la présidente, mon frère en était le directeur général. Notre entreprise fonctionnait du feu de Dieu, les journaux se vendaient partout en Espagne et ce tous les jours. Nous avions réussi à la remettre sur pieds.

-       Addyson ?

-       Si ?

-       ¿ Puedes echar un vistazo a este artículo por favor ? Me piden tu opinión arriba. (Tu peux jeter un coup d'œil à cet article s'il te plaît ? On me demande ton avis dessus.)

-       Por supuesto, deja sobre mi oficina yo lo haré tan pronto como acabé de poner esto en página. (Bien sûr, laisse-le sur mon bureau je le ferai dès que j'ai finis de mettre ceci en page.)

Lucas déposait le papier sur mon bureau et retournait à son travail. Depuis que j'avais quitté New York, j'avais continué à parler anglais puisque Khole était venu s'installer avec moi pendant deux ans avant de rentrer en Amérique. Il avait tenu à rester avec moi pour garder un œil sur moi et être sûr que je n'allais pas commettre l'irréparable. Il n'avait aucune confiance en mon frère et préférer se charger de moi tout seul.

Maintenant, il vivait avec sa copine Olivia avec qui il était depuis trois ans. Ils avaient acheté une maison juste en face de celle de Jo'. Il lui avait promis qu'il resterait proche d'elle et ce qu'il avait fait en achetant ainsi.

Tout comme moi, il ne s'était jamais remis de l'emprisonnement de son frère, mais il avait tout de même essayé de l'accepter, ce qui n'avait pas du tout été mon cas, j'en étais devenue folle à lier. Et depuis cinq ans je n'avais pas eu une seule de ses nouvelles, je ne savais même pas s'il est encore en vie, où est-ce qu'il était, comment est-ce qu'il allait, ni même s'il avait eu droit à un procès qui le déclarait non coupable.

Rien.

Quant à mes amis, ils avaient tous récupéré des vies normales comme nous voulions tous en avoir.

Commençons par Clay et Heather, ils sont les parents d'une jeune fille de qui venait tout juste de naître et d'un garçon de cinq ans. Heather est ingénieure en mathématiques dans une des plus grosses entreprises de New York, et Clay travaille en tant que coach de l'équipe de notre ancien lycée. Ils s'entendent à merveille depuis leur réconciliation à la suite de l'arrestation qui avait eu lieux cinq ans en arrière. J'ai régulièrement de leurs nouvelles et ils sont déjà venu passer un mois de leurs vacances ici, avec moi. Même si je ne vis pas près d'eux je suis la marraine de leur petit garçon Jaxon, en hommage à notre meilleur ami. Molly, elle, est la marraine de leur magnifique fille Rosanna.

Molly. Et bien Molly et Simon travaillent tous les deux dans une galerie d'art. Simon l'aidait à présenter ses œuvres lors de ses expositions dont l'on entendait parler jusqu'à l'autre bout des Etats Unis. Autrement, il travaillait dans une agence de communication dont il était le patron. Molly travaillait aussi à mi-temps dans l'hôpital où était la mère de Clay. Depuis tous les accidents qui avaient bouleversé notre année de terminale, elle se sentait dans le besoin d'aider les gens qui en avaient besoin. Cette fille était une personne en or.

-       ¿ Señorita Romero ? Su cita de las catorce horas llegó. (Mademoiselle Romero ? Votre rendez-vous de quatorze heures est arrivé.)

Je gardais les yeux fixés sur mon écran d'ordinateur tout en répondant à ma secrétaire qui venait d'entrer dans mon bureau.

-       Cumbres entrarlo por favor. (Faîtes-le entrer s'il vous plaît.)

Elle fit entrer l'homme avec lequel j'avais rendez-vous en ce début d'après-midi et refermait la porte. J'enregistrais mon travail sans pour autant regarder l'homme qui attendait debout. C'était un anglais.

-       Asseyez-vous monsieur...

-       Lewis.

Je levais les yeux et tombais nez à nez avec lui.

Kewen.

Bad Things 1 ⋮ Feelings lead to bad things ~réécriture~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant