Voici l'histoire de Bendy and the Ink Machine, basée sur le jeu, vue par Henry. (Attention, si vous vous intéressez à ce jeu et que vous n'avez pas vu certains chapitres, il se peut qu'il y ait des spoilers, mais vous pouvez tout de même lire cette...
Lorsque j’eu fini mon festin, la musique en était à sa fin. Je me sentais en meilleure forme et j’étais prêt à continuer mon chemin. Un pupitre était devant une porte fermée. J’ai essayé de traduire la partition posée dessus mais je ne comprenais rien.
Je fus étonné de voir la salle qui était derrière la porte quand je l’ouvris. C’était un grand studio avec une large scène, une mezzanine et même une cabine d’enregistrement. Des chaises, pupitres et instruments étaient abandonnés sur la scène. Nous pouvions y retrouver un violon, un banjo, une contrebasse et un tambour. Un piano était à l’écart de cette scène.
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Un Bendy cartonné me surveillait du haut de la mezzanine. J’y suis alors monté et je me suis rendu compte qu’il avait disparu à mon arrivée. Je me suis retourné vers la scène pour la contempler d’en haut. Le Bendy en carton y était installé dessus. Comment avait-il pu se déplacer en même temps que moi, sans même que je ne le vois ?
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Un projecteur était sur le rebord de la mezzanine et faisait face au mur, au-dessus de la scène. Je l’ai activé et j’ai constaté qu’il ne diffusait rien lui non plus. Les employés avaient laissé toutes leurs affaires avant de partir sauf les enregistrements. Un magnétophone était auprès du projecteur. C’était un enregistrement d’un vieil ami, Norman Polk, projectionniste de la compagnie :
« Chaque jour arrive la même chose étrange, je me rends à ma cabine, à faire swinguer de la musique et sans prévenir tu as Sammy Lawrence qui arrive et qui coupe tout le truc, nous demandant d’attendre dans le couloir. Du coup je l’entends. Il met en marche mon projecteur avant de sortir de la cabine en courant pour rejoindre le studio d’enregistrement, comme si le petit diable lui-même le pourchassait. Quelques secondes plus tard, le projecteur s’éteint, mais pas de Sammy en vue. D’ailleurs il n’est pas sorti avant un moment. Ce type est vraiment bizarre. Complètement barré. Je me demande si je devrais pas parler de cette bizarrerie à M’sieur Drew. Mais quand j’y repense, je dois l’admettre, M’sieur Drew est tout aussi excentrique. »
