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POV Mesut
Mesut : Répète pour voir ?
Je m'avance d'un pas énervé vers l'autre tête de gland. Ce dernier aussi avance avec un sourire mesquin. Qui a invité ce connard déjà c 'était pas sensé être une fête entre les français et les allemands de base ?!
Arturo : Varane est une pute, qu'il doit bien sucer avec la bouche qu'il a. Je rajouterai aussi que ton mec a un bon cul, je le prendrais bien !
Son sourire grandit, et ce connard se tourne vers mon français pour lui faire un clin d'œil. Mon poing se serre et vient embrasser la joue droite.
Arturo : Tu sais lors des clasicos, tu ne seras pas là et je pourrais faire ce que je veux sans t'avoir dans les pattes, et quand il aura goûté à mon corps, il ne voudras plus de toi, deviendra accro à mon sexe.
Si je n'étais pas aussi énervé, je lui aurais rigolé au visage. Qui voudrais coucher avec lui ? Si quelqu'un répond qu'il veut, je le fais enfermé en hôpital psychiatrique.
Pour en revenir au présent, cette fois, je me lâche et me jette sur lui. Mes poings tapent le visage du chilien de nombreuses fois. Je n'entends plus rien autour de moi, alors que je sais que la musique s'est arrêtée et que tout le monde nous regarde.
Ce dernier tombe sous les coups. Je ne m'arrête plus, et m'assois sur son torse alors que le barcelonais essaye de se protéger avec mes bras. Des bras me retiennent en arrière. Cependant je me débats tellement que j'arrive à me dégager et me rejette sur l'abruti allongé au sol. Je suis de nouveau arrêter, et tirer en arrière.
Je bouge dans tous les sens pour frapper encore Vidal. Je stoppe tout mouvement quand le visage de mon petit ami rentre dans mon champ de vision. Je fais un pas pour m'approcher de lui mais des mains me retiennent encore. Je me tourne vers les gars qui m'empêchent de bouger et reconnais Julian, Lacaz', Giroud et Marco.
Mesut : C'est bon les gars, cet abrutit ne mérite même pas mon énervement.
Les français et Ju' regardent le joueur du Dortmund qui hoche la tête et me lâche. Les autres suivent le mouvement. Je m'approche de Raph' mais quand je le prends dans les bras, mon petit ami a un petit geste de recul. Je suis déstabilisé et comprends quand je vois une étincelle de peur dans ses yeux qui disparaît rapidement.
Mesut : Amour, je ne serais jamais violent avec toi. Tu es trop important pour moi et ce connard a insulté la personne la plus précieuse que j'ai. Je ferais n'importe quoi pour toi. Tu passes avant tout même ma propre vie. Jamais je ne lèverais la main sur toi. Je ne te toucherais pas... Enfin pas de cette façon-là, et je sais que tu apprécieras beaucoup celle-ci.
J'ouvre mes bras et Raphaël vient se blottir en cachant ses joues rougies dans mon cou.
Raphaël : Pourquoi je t'aime déjà ?
Mesut : Parce que je suis...
Raphaël : C'était une question rhétorique !
Je rigole alors que mon petit ami se recule pour me frapper doucement le torse. Je pose alors mes lèvres sur les siennes. Ma langue demande l'accès à sa bouche auquel mon français me donne rapidement. Un raclement nous fait comprendre qu'il faut que nous nous séparons.
Je me tourne vers la personne qui vient de nous interrompe dans ce si bon moment. Maëlle se tient debout devant moi la main droite sur la hanche et un bébé blond dans le bras gauche.
Mesut : Qué pasa la bretonne ?
Maëlle : Hum... Je sais pas tu peux allé t'excuser avant qu'une Justine se jette sur toi pour se venger !
Elle me montre de la main Justine qui essuie du sang qui coule de la lèvre fendue. Mon regard revient sur la jeune femme à mes cotés sans comprendre
Maëlle : Tu as frappé Blondie en te débattant tout à l'heure. Justine n'est pas contente que tu es défiguré le papa de bébé lichette.
Maëlle part en direction de son copain qui se trouve un peu plus loin avec son filleul dans les bras. J'embrasse le front de mon copain, lui prends la main et pars en direction de l'homme que j'ai blessé.
Mesut : Désolé mec, j'étais énervé, j'ai pas fait attention...
C'est à ce moment qu'une Justine furieuse se met devant moi, en posant son index sur mon torse.
Justine : Tu as de la chance d'être Mesut Özil, et d'avoir défoncer l'autre con sinon je t'aurais giflé.
Je lui sourie, la femme grogne mais se tourne et va aux côtés de son mari. Des bras s'entourent autour de ma taille, mes lèvres se posent sur le haut de mes cheveux.
Mesut : Ce que je disais tout à l'heure de te toucher d'une façon beaucoup plus agréable, on peut le faire maintenant.
Raphaël : Désolé amour, mais ce ne sera pas pour ce soir...
Je l'entends rire dans mon dos. Et un grand sourire prend place sur mes lèvres.
Mesut : Ah bon et pourquoi ça ?
Son souffle s'approche de mon oreille et je l'entends chuchoter.
Raphaël : J'ai mes règles... Désolé liebe.
Il m'embrasse dans le cou puis part en rigolant. Je reste sur place abasourdit. Le mec vient de me rembarrer comme jamais. Je suis sorti de mes pensées qui insulte de tous les noms mon copain qui rigole encore par la voix mélodieuse de Maëlle.
Maëlle : Bon quelqu'un veut bien enlever le corps de la tête de gland du tapis.
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J'espère que ça vous a plu, et surtout à toi x2medusa, bon il n'y a pas de toute ta commande, aujourd'hui j'ai pas envie d'écrire un lemon mais je voulais écrire sur ce ship.
N'hésite pas à colorier la petite étoile. 🌟🌟
Je viens d'aller avec mon maillot du PSG avec les amis de mes parents, quand tu es en Bretagne c'est un peu mal vu... Moi je rigolais alors que mon père voulais me montré à tout le monde tellement il est fier mdrr
