Secret Garden - Han Jisung

Chapitre 4

Hyun n'avait pas tout dit à Jisung la dernière fois, elle ne lui avait pas dit qu'une fois l'un de ses "camarade" l'avait enfermer dans les vestiaires après que toute les filles sois sortie et qu'il l'est frappés et elle ne lui avait pas dit que ce moment était justement le jour où elle lui avait raconter son complexe. Justement en rentrant chez elle, son reflex était de s'effondrer dans son lit et pleurer, criait et même d'attraper une lame où elle y n'y toucha finalement pas sa peau parce que le beau visage de Jisung lui était revenu en tête, lui et son sourire, son rire et ses petites manières, ses tics qu'elle avait pu remarquer lorsqu'il l'avait ramener chez elle, sa façon dont ses cheveux s'envolait dans le vent. Rien qu'à toute ses petites pensées, elle en rougis et ses larmes et ses hurlements c'était arrêter. Il lui avait même demander son numéro pour qu'ils puissent continuer de ce parler et d'ailleurs elle ne tarda pas à lui envoyer un messages puis plusieurs quand il lui répondit, et ils parlèrent toute la nuit.

Le lendemain, elle alla au lycée, plutôt souriante mais elle perdit le sourire quand elle vu une assemblée autour de son casier. Elle poussa certaine personne et arriver devant elle y vit une photo d'elle, au sol, en sous-vêtements avec ses blessures récente sur le corps. Les larmes arrivèrent au coin de ses yeux, elle se dégoutta quand elle y vu tous les bourrelets sur son corps qu'elle disait affreux. Elle se trouvait affreuse, elle entendait les rires derrière elle et cette fois les larmes coulèrent pour de bon.

- Bouboule !

C'en était trop pour elle, elle prit les photos d'un geste violent qu'elle déchira en millier de petit morceau, elle poussa de nouveau ses camarades et couru dans une cabine de toilette et y vomit, encore dégoutter d'avoir vu son corps affichait sur une photo, sur son casier où tout le monde pouvait la voir. Elle s'essuya la bouche et pleura. Son reflex était de, non prendre son téléphone pour envoyer un message à Jisung son nouvel ami, mais de prendre une lame qu'elle gardait toujours sur elle et elle y fit cette fois ci des traits. Puis elle sentit son cellulaire vibrer, elle le prit, un message d'orange. Elle va sur la conversation de Jisung et lui envoie un message, elle était surprise de voir qu'il lui répondit aussitôt.

A Jisung

Tu es la fac ?

De Jisung

Non, je sèche :))

A Jisung

Le thug -u-

De Jisung 

Hehe

Mais toi ? T'es pas au lycée ?

A Jisung

Eum... Si justement, j'ai eu un petit problème...

De Jisung

Quel genre de problème ?

A Jisung

Vient me chercher...

Et elle éteignit son téléphone, elle essuya le sang mais en vain car il continua de couler... Alors elle baissa sa manche seulement, sortit des toilettes, puis dehors sans problème, en douce.

Elle attendit son ami devant le portail et il arriva 15 minutes après, lorsqu'il vu les yeux rougis de son amie, il couru vers elle et la prit dans ses bras. Il attrapa son poignet et elle gémit de douleur, n'aillant pas encore cicatriser aux blessures récente. Il s'excusa mais fronça des sourcils rapidement et attrape sa main pour relever sa manche.

- C'est quoi ça ?

- Je peux tout t'expliquer...

Ils marchèrent alors vers le parc silencieusement, personne ne parlait et ils allèrent au petit endroit. Elle inspira profondément et lui expliqua tout, les larmes lui montaient aux yeux, elle se dégouttait...Le garçon l'écoutait attentivement et lui caresser le dos pour la réconforter et pour lui montrer qu'il était avec elle. Et dans un murmure, elle le remercia... Et se blottie dans ses bras silencieusement. A ce moment, Jisung comprit que son amie en pouvait plus de supporter tout ça, il disait la protéger mais n'avait pas était là quand il le fallait et il s'en voulait mais aussi il ne savait pas que ce genre de chose allait se passer, elle ne lui avait pas dit qu'elle s'était fait battre. Et c'était un grand exploit qu'il soit arriver à temps hier et qu'il lui est demander son numéro, sinon elle serait peut-être morte ? Rien que cette pensée lui procura un frisson, il voulait pas pensée à ça maintenant.