CHAPITRE 13: À ses risques et périls.

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Coucou mes bébés! Ça-va?

Suite de Valentina, toujours sous le point de vue de Sebastian, d'ailleurs vos avis sur les personnages sont vivement attendus!

STOP:
Cette histoire a atteint 1000 vues et 100 votes!! Et en plus il y a une petite communauté fidèle de filles qui m'encouragent à continuer me boostent 🌹! Ça fait vraiment plaisir car ça fait 2 semaines que j'ai commencée!

En Espérant que cette histoire vous plaira mes bébés!

Xoxo - Iamazranur

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Nous voila de retour à la résidence de Preto. Lorsque je pénètre dans la maison Ruben est assis sur le divan, une cigarette à la bouche et une bière à la main. Quelques gars l'accompagnent.

Je ne sais pas pourquoi son visage a toujours l'air de porter tout les problèmes de cette terre. Je pense que c'est son faciès qui lui donne naturellement cette air autant énervé que dérangé ou peut-être ses cheveux cuivrés? Quoi qu'il en soit ce petit gringos me fait toujours bien rire.

Je continue ma route dans ce vaste salon et je ne remarque toujours pas la présence mon frère Esteban, cela signifie qu'il doit être à l'étage entrain de fouiller sur son ordinateur les serveurs de je ne sais quel pays ou pirater le système de je ne sais qu'elle personne d'importante.

Je me dirige vers les sous-bassement de cette propriété. Juste avant que je ne m'engage dans le couloir qui mène aux cellules, Preto me jette un furtif coup d'œil dont je ne comprend pas la signification. Puis d'un geste de la tête Preto signale à son bras-droit de le suivre dans son bureau. Ruben se lève, tire une dernière bouffée de sa cigarette avant de l'écraser dans le cendrier puis suivre Preto au pas.

Quant à moi je m'enfonce dans la partie sombre de cette villa.

C'est l'odeur prenant du sang qui s'injecte dans mes narines qui me fait regretter mon action de bon Samaritain.
Malgré mes nombreuses années en tant que tueurs-à-gages, l'odeur du sang reste la seule chose dont je ne peux m'habituer c'est vraiment dégelasse.

Il ne me faut pas longtemps pour arriver devant la première cellule. Je demande à Héctor, le gars qui surveille la puta, d'ouvrir la porte. Ça me fait bien chier de nourrir cette cabrón mais honnêtement je pense qu'elle nous sera beaucoup plus utile vivante que pourrissante dans sa propre chaire.

Lorsqu'Héctor ouvre la porte je découvre la dite: Paloma recroquevillée sur elle-même, allongée sur le sol. Décidément, elle n'as plus la même assurance que lorsqu'elle agitait ses petites fesses sur les cuisses de Ruben.

Je dépose le sachet sur la table avant de lancer:

-C'est l'heure de manger à la cantine. Lançais-je ironiquement.

Il ne lui en fallut pas plus pour faiblement se redresser. Ses yeux marrons entrèrent dans les miens. Et la pointe de haine qui anime ses pupilles me donne fortement envie de reprendre mon dus et de laisser cette puta mourir de faim.

Une chance pour elle que j'ai vraiment de meilleurs chats à fouetter parce-qu'autrement sa jolie teinture blonde serait devenue écarlate grâce au sang de la balle que je lui aurais bien collé dans le front.

Je referme fermement la porte derrière moi. Au tour de mi quérida niña. Un vent théâtral s'imprègne en moi et je ressens l'envie de toquer avant d'entrer.

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Where stories live. Discover now