CHAPITRE 88: Deuil.

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Hey my beauties babies, ça-va? 🌹


Je vous attend à la fin de ce chapitre, je vous laisserais me poser toutes les questions que vous voulez, et j'y répondrais dans une partie à part!

Vous pouvez en posez sur moi, sur cette histoire, les personnages, comme vous voulez mes boulettes.


Bonne Lecture. 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓


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CHAPITRE 88: Deuil.
















































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Point de Vue: Valentina.





Le réveil à été difficile. Insupportable. Lourd. Je sais qu'il n'a pas dormi. Et aucun de nous n'avons parlé. Il s'est lavé. Pendant que je me brossais les dents et le visage. Comme un petit couple. Je me suis lavée après lui. Pendant qu'il faisait sa toilette également. Toujours ce rideau de douche tiré.

Le réveil à été atroce. Car on a réalisé, que tout était réel. Tia Alma est morte. Elle est morte dans mes bras. Voilà. C'est tout. C'est finit comme ça. Une énième fois. Alors notre lourdeur nous pèse. Mutuellement on essaye de rattraper les peines de l'un et l'autre. Mais je crois que pour le moment. Le silence fera l'affaire.

Après être sorti de cette chambre de motel. Preto à volé une nouvelle voiture. Cette fois-ci, il conduit. Il est très tôt. Peut-être six ou sept heures. Et Preto s'est arrêté dans une sorte de station essence un peu plus loin. Il a pris pour nous, des barres de céréales, des sandwiches et de l'eau. Et il s'est pris un téléphone jetable.

On est parti. On à mal. Mais il m'a rassuré. Car sur ma cuisse il a posé sa main. Et il ne l'a pas retiré de tout le trajet. Il ne me regardait, ni ne parlait. Mais au moins. Il était là. Et j'ai posé mes mains sur la sienne. Sans le regarder également. Je crois que nos peaux suffiront. Car nos yeux renferment beaucoup trop de supplices.

Et les paysages ont défilés. Dans ce calme, qui hurle tellement de souffrance. On est mal. À deux. Et je sens comme Preto retient cette boule de colère dans sa gorge. Je sens rien que dans sa conduite rigide, comme son corps est tendu. Frustré. Noir et acéré...

Mais il m'a demandé de lui montrer... Comment l'apaiser. Alors je serais là pour lui.

Je crois que nous sommes arrivés à Mexico. En tout cas, nous sommes en ville. Dans un quartier qui semble pavillonnaire. Preto arrête le véhicule sur une place qui gisait là, devant un immeuble propre et blanc. Il en sort. J'en fais de même. Et pendant que je prend les déchets d'emballages, il prend la boite de son téléphone jetable. Et il m'incite à le suivre d'un geste de la tête.

Je marche derrière lui. Pas un mot. Pour le moment. Je le suis.

Nous remontons cette pente. Dans ce quartier qui me semble tellement paisible.

Et devant une porte d'entrée d'un bâtiment qui ressemble à tout ceux qui nous entourent nous arrivons. De sa force il fait céder l'aimant qui bloque cette lourde porte. Il me laisse entrer. Puis passe à son tour.

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Where stories live. Discover now