Gnor

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(apparaît dans "A Travers les Portes de la Clef d'Argent" [collaboration de HPL avec E. Hoffman Price)

"Je ne peux pas penser à la mer profonde sans frémir à l'idée des créatures sans nom qui, peut-être en ce moment même, rampent et pataugent au fond de son lit visqueux, adorant leurs anciennes idoles de pierre et sculptant leurs propres portraits détestables sur des obélisques sous-marins de granit gorgés d'eau."
H. P. Lovecraft

Habitant des mers doté de nageoires et d'une barbe, le Gnor ressemble à un triton

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Habitant des mers doté de nageoires et d'une barbe, le Gnor ressemble à un triton.
Un Gnor peut avoir deux, trois ou quatre bras, ce qui ne génère pas de sous-espèces.
Le Gnor à trois bras est toujours asymétrique.
Tous les Gnorri sont ovovivipares.

Le Gnor ne possède ni queue ni jambe, son torse se terminant par un long tentacule, dont les ondulations en spirale le propulsent lorsqu'il nage

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Le Gnor ne possède ni queue ni jambe, son torse se terminant par un long tentacule, dont les ondulations en spirale le propulsent lorsqu'il nage.
Pour glisser sur les fonds marins, ce tentacule ondule comme un boa obscène, agrippant les prises opportunes pour tirer en avant le corps de la créature.

Dans un échantillon aléatoire composé de 532 Gnorri, Meeb (1986) a constaté que 37 avaient quatre bras, 236 en avaient trois, et 259 n'en avaient que deux, une fréquence respective de 7%, 44% et 49%

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Dans un échantillon aléatoire composé de 532 Gnorri, Meeb (1986) a constaté que 37 avaient quatre bras, 236 en avaient trois, et 259 n'en avaient que deux, une fréquence respective de 7%, 44% et 49%.

Dans un échantillon aléatoire composé de 532 Gnorri, Meeb (1986) a constaté que 37 avaient quatre bras, 236 en avaient trois, et 259 n'en avaient que deux, une fréquence respective de 7%, 44% et 49%

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Habitat : Le plateau continental, dans les climats tempérés et tropicaux ; le Gnor n'a pas la protection suffisante pour supporter les températures polaires.
Répartition géographique : Les mers salées des Contrées du Rêve.
Vie et habitudes : Les Gnorri construisent des grottes où ils vivent, cultivent les algues, élèvent des troupeaux de créatures marines et façonnent des marchandises fines qu'ils vendent ensuite.
La structure architecturale caractéristique du Gnor est le labyrinthe, un ensemble complexe de bâtiments en zone de marées utilisés à la fois comme habitations, lieux de culte et pièges à poissons. La plupart de ces labyrinthes sont des tunnels de corail ou de roche complètement immergés et taillés avec soin. La plupart du temps, la conception de ces structures est excellente, et les chercheurs considèrent les labyrinthes Gnorri autant comme des splendeurs esthétiques que comme des ouvrages utilitaires ou défensifs.
Dans la tristement célèbre crique de Benna (située à l'est de Sarkomand) existent des kilomètres carrés de murs en pierre alambiqués s'élevant plusieurs mètres au-dessus de la marée haute moyenne. Une partie de ce labyrinthe Gnir depuis longtemps abandonné est ouverte sur le dessus, une autre est couverte, de sorte que les petits bateaux qui naviguent dans ses grottes étroites sont parfois à la lumière, d'autres fois dans l'ombre, ou encore dans l'obscurité impénétrable. Des rêveurs audacieux ont exploré certaines parties de cet immense labyrinthe. Une telle structure doit avoir joué un rôle particulier, mais les investigations ponctuelles menées jusqu'ici n'ont pas permis d'en deviner le but.

 Une telle structure doit avoir joué un rôle particulier, mais les investigations ponctuelles menées jusqu'ici n'ont pas permis d'en deviner le but

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Locomotion du Gnor
Un Gnor nage habituellement grâce aux mouvements rapides de sa longue queue.
De temps en temps, il peut cependant traquer sa proie en tirant son corps à l'aide des nombreuses ventouses présentes sous lui ; plus rarement, il peut enrouler sa queue souple autour d'un affleurement ou d'un poteau, puis se tirer en avant par la seule force de ses muscles caudaux.

LE MYTHE DE CTHULHU [+15]Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora