L'or du monde à ses genoux,
Le feu à prit ses paumes comme foyer,
Les vagues forment les flots de ses pupilles,
Les ombres se fondent dans sa chevelure,
Le jour se prolonge dans la plénitude de ses bras.
Inconnue N°1
L'or du monde à ses genoux,
Le feu à prit ses paumes comme foyer,
Les vagues forment les flots de ses pupilles,
Les ombres se fondent dans sa chevelure,
Le jour se prolonge dans la plénitude de ses bras.