UN TONNERRE TUMULTUEUX
sur une scène du crépuscule paisible.
Ta chaleur sur ma peau nue ensoleillée.
Ta voix douce, fraîche comme une vague de menthe sur une toile dorée.
Les caresses apaisantes de la brise marine,
du baiser de l'océan,
de la teinte métallique de la mousse de mer comme cela frôle mon corps endolori.
Laisse mes chagrins les plus profonds s'effondrer
Et parmi tout cela; toi.
Sous le regard de Poséidon,
sur tes ailes, des épines de convoitise;
Tranchantes comme des tessons
Car la gloire devant moi
n'est pas ma muse ailée d'avant la nuit de temps.
Ta peau scintillante flambe d'envie,
Tes lèvres charnues se séparent de désir.
Dois-je capturer ce moment?
Si pur et pourtant si pêcheur
Dans la toile imprimée sur mon âme.
Mon coeur brûle mais pourtant tu me manques.
DIS-MOI, COMMENT VAIS-JE M'EN SORTIR?
De cette ruée accablante,
de chaque nuance rouge,
le parfum d'une rose à couper le souffle.
Je ne tomberai pas en proie,
Je n'en peux plus, et pourtant,
la douceur incroyable d'un ange déchu.
Tes ailes de crème à la vanille font voler mon cœur.
Tes épines ne me soucient pas.
Car elles aussi, elles brillent comme un trésor dans ma cage.
Un regard morne dans tes yeux anthracite.
Tes lèvres forment des mots que je ne peux comprendre.
As-tu déjà trouvé l'amour dans le cœur de quelqu'un d'autre?
Pour chaque plume que tes ailes perdent,
un million de fois mes larmes suivront.
Mes rêves se sont brisés; bien que mon coeur n'oublie jamais.
Pétales de roses sur la peau au clair de lune,
lisse comme une statue de marbre.
Euphorie sanctifiée,
Je ne permets pas de m'égarer;
Hélas, comment ne puis-je pas?
Envoûtes-moi avec le sourire qui accentue tes lèvres.
Enfin, nos âmes forgent ensemble et
ENFIN
JE
SUIS
A
TOI
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A BARD'S OBSERVANCES
Poetry[en ce qui concerne la vulnérabilité psychologique de l'individu]
