Dazai x Reader [ FINIE ]

Chapitre 14

Il est très rare qu'un sous-fifre puisse entrer dans le QG de la mafia portuaire. Ceux qui sont convoqués ne savent jamais dans quel but.

Je monte dans l'ascenseur en verre qui me donne une vue sur la ville et monte tout en haut de l'immeuble.

Mais dans cette organisation, les ordres de cet homme sont absolus.

L'ascenseur atteint destination et les portes s'ouvrent sur un long couloir sombre éclairé par de petites chandelles et deux hommes en costume noir pointant leur armes sur moi.

- Je suis ( t/p ). J'ai des informations à donner au parrain. Dis-je en montrant l'ordinateur.

Ils baissent leur armes et je me dirige au fond du couloir, je vois les caméra me fixait tout le long.

J'arrive au fond du long couloir et dit en m'arrêtant telle un piquet au deux hommes devant moi armés :

- Je suis ( t/p ).

Il s'écartent, range leurs armes et ouvre la porte.

-C'est ( t/p ), monsieur. J'entre. Dis-je avant de rentrer.

-Allez, Éris, mets la robe !

Je m'arrête et la porte se ferme derrière moi. La salle était grande, très belle et nous donner à gauche une magnifique vue sur Yokoyama. Sur l'immense tapis en face de moi, des tenue de petites filles traînaient parterre

-Juste un instant, quelques secondes !

-Non, j'ai pas envie ! Dit la petite fille blonde les mains sur les hanches devant le parrain qui était lui, agenouiller devant elle.

-S'il te plaît, essaie-la, Éris ! Je l'ai choisie avec beaucoup de soin. Regarde ces volants vermillon ! On dirait une fleur ! Je suis sûr qu'elle t'ira à ravir !

-J'aime bien les beaux vêtements, mais je déteste tes requêtes désespérées !

-Monsieur. Dis-je en fermant les yeux. Vous m'avez convoqué.

Éris et le parrain se retourne vers moi étonnés. Au bout de quelques secondes, les stores donnant sur la ville se ferment petit à petit nous plongeant dans le noir.

Quand la lumière se rallume, le parrain était assis sur son jolie fauteuil rouge en velours, les mains croisées.

-Bien, ( t/p )...

-Oui ? Dis-je en étant maintenant devant son bureau les mains croisées dans le dos l'ordinateur sous le bras.

- Tu n'as rien vue, c'est compris ?

-Non, je n'ai rien vue. Vous étiez occupé à changer la petite, mais vous avez pris le temps de me recevoir.

Le parrain me fixe avant de fermer les yeux et de sourire.

- Tu as ce que je t'ai demandé ? Dit-il en ouvrant ses yeux.

- Oui. Dis-je en prenant l'ordinateur.

Je m'approche de lui et m'incline un peu en lui tendant l'ordinateur. Il le prend de ses mains gantées.

- Tout est à l'intérieur ?

- Oui. Dis-je en me remettant droite. J'ai retiré le code de sécurité pour que vous puissiez le regarder sans tenir à œil dans les mains.

-Un œil ? Dit-il en levant un sourcil.

- Oui, l'ordinateur ne s'ouvrait normalement qu'avec l'œil de l'informateur, par manque de collaboration, je lui ai donc arraché et m'en suis servi, monsieur.