━ SEPT.

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first week-end

LA NUIT TOMBA DOUCEMENT EST,comme elle le pensait, la fenêtre de sa chambre était fermée

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LA NUIT TOMBA DOUCEMENT EST,
comme elle le pensait, la fenêtre de sa chambre était fermée. Assez audacieux lorsqu'on sait la menace qu'il pèse sur lui. Elle ne se démena absolument pas, presque déçue de sa part alors qu'ils s'étaient côtoyés pendant trois ans – ou plutôt deux ans et demi, à quelques mois près.



La « matière noire » pris doucement en place sur son corps avant de passer entre les fissures de la fenêtres, laissant son corps se matérialiser dans la chambre. Elle pouvait entendre le léger fond sonore provenant sûrement de la salle à manger, alors, sans crainte qu'il se soit enfuit – en plus dû faite qu'il n'est clairement pas une personne lâche – elle se laissa s'installer sur son lit.



Allongée dessus et battant des pieds dans l'air, elle attendait patiemment son retour avant d'entendre la porte claquée fortement. Elle se tourne vers la source du bruit avec de voir Bakugo contre sa porte alors qu'il relevait la tête, fronçant les sourcils en la voyant avant de lâcher des insultes vulgaires.



— Tu mérites un oscar pour ce magnifique accueille.

— Ferme ta grande bouche comme tu l'as toujours fait la zombie.

— Comme la tienne et celle de toutes les femmes et les hommes ?



Elle s'était sentie vexée, presque humiliée. Il insinuait qu'elle devait retourner à l'époque où elle vivait toutes ces merdes injustes, sexistes voir raciste en fermant sa gueule ?



— Arrête de me raconter ta merde.

— Pardon, la lâcheté et l'ignorance vous vous connaissez.



Il avait fui le discours qu'il aurait pu recevoir, parce qu'il en avait absolument rien a foutre de sa personne. Alors il s'installa sur son bureau et fit ses devoirs, il l'avait ignoré pendant toute la « séance » et comme promis, elle était partie à minuit, dans le silence.

LES TEMPS CHANGENT | bakugoWhere stories live. Discover now