𝐉𝐎𝐄̈𝐋𝐋𝐄 : 𝐔𝐧 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐍𝐨𝐦 [𝐓𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞́]

CHAPITRE 2

Miriam

Cantique des Cantiques, 2:14 - Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.

EXTÉRIEUR

Le matin du début de la 3ème semaine de rééducation de arthemis.

- je vais à l'église ma cherie, tu devrais appeler Miriam pour te tenir Compagnie. Dit-elle en lui laissant un baiser sur la joue

- vas y. Dit Arthémis désintéressée

- tu ne veux pas... m'accompagner ? Hesita sa mère.

- maman, on en a déjà parlé. Dit arthemis irrité.

- comme tu veux... dit sa mère en soupirant

SEIGNEUR touche son cœur...
Transforme celui de pierre en Celui de chaire afin qu'elle voie TA gloire. Amen

2 heures plus tard.

- il y a quelqu'un ? Dit une jeune femme debout dans le couloir désorienté.

- excusez moi, qui est ce que vous cherchez ? Dit un jeune homme avec une voix douce.

Miriam regarda cette homme avec insistance, il était un homme de PAPA c'est sûr, son lien avec LUI devait être solide vu comment il déborde de SA présence

- je cherche la chambre de Mademoiselle Alovan mon amie, vous ne saurez pas où elle est ?

- au 3ème étage, chambre 218. Lui sourit-il gentiment.

- merci. Dit-elle en lui souriant, Que Dieu vous bénisse

- Amen, Merci ma sœur.

Il disparut derrière les portes d'une autre salle et elle s'en alla à la recherche de sa meilleure amie, arrivée devant la porte elle toqua deux fois et attendu que sa meilleure amie réponde.

- entré. Dit une voix frêle.

La porte s'ouvrit et la tête de Miriam apparut au travers.

- Arthémis ?

- Miriam ! Sourit-elle enthousiaste

- je suis venu dès que je pu mais avec mon travail, l'église et mon fils je n'ai pas eu de temps. Dit-elle la jeune femme en s'avançant vers son amie l'air désolée

- ne t'inquiètes pas, j'avais aussi envie de te voir. S'exprima-t-elle d'une voix heureuse mais les mains tremblante.

En voyant les mains tremblante tournée vers elle, elle se sentit triste pour son amie qu'elle avait essayé de conduire vers une autre voie que celle qu'elle empreintait