𝐉𝐎𝐄̈𝐋𝐋𝐄 : 𝐔𝐧 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐍𝐨𝐦 [𝐓𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞́]

CHAPITRE 20

Destinée
1 Jean, 1:4 - Et nous écrivons ces choses, afin que notre joie soit parfaite.

VERS LA FIN PARTIE 1/5
~2 mois plus tard, Location : Salle des merveilles, France - Paris 20h 39📍~

JOËL

Je stresse en espérant qu'elle soit d'accord... Mais qu'est-ce que j'imagine et si elle refuse et me rejette comme une serviette ? Et si elle -

Joël

PAPA... J'ai peur qu'elle ne veuille pas de moi...

Ne t'ai-je pas confirmer votre avenir ? Ne t'ai-je pas dit que c'était elle et personne d'autre ?

J'hoche la tête et me souviens de lorsque PAPA m'a tout dit durant ces deux derniers mois et je me ressaisi en me disant de ne pas m'inquiéter.

Si PAPA, tu m'as déjà tout confirmé et puis tu m'as doté d'un esprit de courage et non de timidité, je n'ai pas à avoir peur

Exactement mon petit roi

Je reprends une grande bouffée d'air alors la majorité des invités sont déjà là et que tout le monde se prépare déjà à recevoir Joëlle par surprise.

- Elle arrive ! S'écria jurah toute excitée

Tout le monde reste silencieux et on éteint la lumière. Elle arrive les yeux bandés et habillé d'une magnifique robe droite verte sombre à corset dans le dos et dénudée sur une épaule qui la va à merveille, elle est coiffée d'un magnifique chignon fait par des professionnels qui fait penser qu'elle stricte alors que ça fait ressortir la rondeur de son visage...
Azaria et Miriam ôte le bandeau et on chante tous ensemble pour Joëlle un joyeux anniversaire, elle nous fixe surprise et soudainement elle éclate en larmes, jurah panique parce qu'elle fait couler son maquillage et je m'approche doucement d'elle avec un bouquet de marguerittes en lui souriant

- Ne pleure pas princesse, tu sais que tu deviens moche quand tu pleures ? Dis-je en haussant un sourcil

Elle rigole et me tape à l'épaule. Je lui sèche ses larmes avec un mouchoir et après tout le monde me pousse pour être proche de mademoiselle Kabeya keyra

Bientôt madame Kalende

Je bombe le torse tout fier et remarque dans la grande assemblée le regard particulièrement déplaisant de Peggy Sangelas. Je ne l'aime pas beaucoup depuis le lycée, elle me suivait partout, lorsque j'ai plongé dans la drogue, dans l'université de mon choix, dans le domaine où j'excelle donc l'édition et même dans mon entreprise actuelle.

PAPA je fais quoi d'elle ?

Ce n'est pas encore le moment

Je détourne le regard vers ma magnifique Joëlle qui monte avec élégance sur l'estrade en souriant.