── 𝒃𝒖𝒕 𝒊𝒇 𝒊 𝒉𝒖𝒓𝒕 𝒚𝒐𝒖,
𝒊'𝒅 𝒎𝒂𝒌𝒆 𝒘𝒊𝒏𝒆 𝒇𝒓𝒐𝒎 𝒚𝒐𝒖𝒓 𝒕𝒆𝒂𝒓𝒔. ❞
❝ my angel, my darling,
i beg you to come back.
save me from this agony that you caused.
My angel, come back.
Come back to me. ❞
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𝐡𝐮𝐫𝐭𝐬 𝐥𝐢𝐤𝐞 𝐡𝐞𝐥𝐥 - 𝐟𝐥𝐞𝐮𝐫𝐢𝐞
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C'ETAIT PAR UNE CHALEUREUSE SOIREE DE PRINTEMPS avec un ciel couvert d'étoiles filantes que les deux jeunes Serpentard c'étaient connu pour la toute première fois.
Leur rencontre.
Ce qui sera la case de départ de leur histoire, d'eux.
Mais ils ignoraient que leur histoire ne se terminerait pas comme les jolies histoires à l'eau de rose. Il y a toujours une fin, une fin à tout peut importe le domaine. Leur fin à eux approchait grandement et ce serait inévitable.
Tandis que Charlotte Rosier fuyait le jeune Nott dans son manoir après avoir découvert un secret qu'elle n'aurait jamais dû prendre connaissance. Un évènement qu'elle s'était efforcée d'oublier, faire une croix dessus et de passer à autre chose en espérant que cela n'impacterait sa vie. Mais hélas.
La mort de son père.
Elle l'avait perdu alors qu'elle n'était qu'une petite enfant, l'âge durant le quelle l'on disait aux enfants que les morts sont là-haut et qu'ils seront toujours avec nous. Ils avaient peut-être quitter ce monde superflu mais jamais ils ne quitteraient notre cœur, on sentirait toujours leur présence quoi qu'il arrive.
Charlotte ne se souvenait que de vagues souvenirs de son père, qui lui souriait et la prenait dans ses bras. Même si elle n'avait pas eu la chance de passer du temps avec lui, elle savait qu'il était là.
Physiquement, non.
Ses six sens rationnels, ne le sentait pas.
Mais elle le percevait.
La raison n'avait pas toujours besoin de trouver un sens à tout, le cœur possède des significations que la raison ne détient pas. La raison ne pouvait pas toujours comprendre, mais le cœur oui, même s'il ne le comprend pas instantanément mais au fond il le sait.
Lorsque Charlotte avait découvert que Theodore savait ce qui était arrivé à son père, qu'il en était témoins, c'était comme si on lui avait arraché le cœur de la poitrine et l'avait remis à sa place en le poignardant à nouveau.
La douleur ne faisait que continuer.
Elle ne cessera pas.
C'était comment un cadenas, une fois brisé, il ne peut plus être arrangé. Il était détruit à jamais. A moins d'en acheter un autre et que cela recommence de nouveau et qu'un cercle se met en place.
