Partie 49-50

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Partie 49 ::: GHETTO LOVE


PUTAIN L'HCHOUMA! IDRISS IL VA ME PORTER, EN PLUS WALLAH JE SUIS GROSSE!


-Moi : non wallah c'est bon idriss..

-Idriss : tu crois j'me suis déplacer pour walou en plus? Wallah j'temmene à l'hopital!

-Moi : non!

-Idriss : TA GUEULE J'AI HLEF!

-Moi : putain..

-Idriss : quoi?

-Moi : rien!

-Idriss : bah ta gueule! Vas-y lève toi, que je te porte!

-Moi : non! La hchouma si mon frère il monte.. Non j'vais marcher!

-Idriss : j'croyais tu pouvais pas marcher

-Moi : j'vais essayer..

-Idriss : vas-y tranquille, c'est rien zeubi

-Moi : c'est bon wech j'vais marcher..


Je commence à pousser sur mes jambes pour marcher, mais wallah au moment où j'ai poser le pied par terre je me suis étaler tout mon gros poids par terre lol


-Idriss : OH AMEL CA VA ?

-Moi : ouais ouais c'est bon tranquille..

-Idriss : vas-y vient..


Il m'attrape par le bras et met son bras autour de son cou, je sens son odeur, wallah j'suis bien je sens son odeur, j'entend sa respiration, je suis au paradis lol

Il me pose sur mon lit, j'ai mal partout et j'ai du mal a respirer..


-Idriss : tes pompe?

-Moi : prend celle de you, devant la chambre..


Il ramènes les air max à you, je l'ai enfile, il est trop mignon mon mari il s'occupe de moi lol wallah j'suis folle, je souffre le martyr (zehma) et j'suis bien, dans ma werss love!


-Idriss : met un truc non?

-Moi : ouais.. Le manteau derrière la porte..


J'enfile la djellaba qui ce trouve au bout de mon lit par-dessus le jogging et il me raméne un manteau lol.


-Idriss : vas-y vient..


Je met mon bras autour de son coup, et je me lève, j'ai trop mal sa race, mais grâce à lui je tiens debout lol. J'prend mes clés je ferme, et on sort..

In sh Allah que je croises personne, la hchouma quand même.. On descend les escaliers parce que l'ascenseur est en panne. Dans les escaliers, j'ai failli tomber 2 fois lol


Arrivée à la voiture, j'avous à la fin, je pouvais marcher, mais je voulais pas mdr, en sah j'étais trop bien, trop trop bien.


Il m'assoit devant, il s'assois, puis démarre.. Il parle pas, il regarde droit devant, avec son regard, de thug là, il fait peur en sah, j'essaie de pas le fixer mais c'est trop dur, wallah, j'en suis dingue..

chronique d'Amel : ghetto loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant