Chapitre 21

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TW : VIOLENCE VERBALE/ PHYSIQUE. CONTIENT DU SANG.

Âme sensible... Contactez-moi je vous ferais un résumer!!






Il est là, Sawyer cet enfoiré. Mon ex, cette personne qui m’as fait du mal, cette partie de moi qui a refouler, elles reviennent en boucle mais cette fois le rêve est différent quelque chose à changer…

***

Sawyer passe ses mains sous mon t-shirt. Pétrifier en attendant que tout celà passe. Cette partie est beaucoup moins trash que la fois dernière fois que j’ai “rêver” de lui. Du moins, c’est ce que je pensais. J’étais sûr le lit en attendant. On s'était disputés cette fois-là. Pas qu’un peu. C’était pourquoi déjà? Car je n’étais pas sorti à l’heure alors que je sortais avec des amis. Il était tellement en colère, les paroles ont volée du moins, que de son côté. Les insultes, mes complexes, tous y sont passés. Je n’étais que assis là sans bouger. 

Il continua à passer ses mains mouillées à cause des légumes. Il préparait une soupe au sang de bœuf avec des légumes. Je ne bougeais pas d’un poil par peur de m’attirer des foudres. Il me sur le plan de travaille dans sa maison alors qu’il préparait le dîner. Il m’embrasse et je n’y répondis pas. Pris de colère, il saisit le couteau de sa main gauche et m’entaille le flanc droit, dans une longue balafre. Mon t-shirt se remplit de mon sang, dirigeant ma main par peur sur mes côtes. Je regarde ma main et je la vois recouverte de mon sang. En quelques secondes je me sentais nauséeux, prête à tourner de l'œil, et c’est ce que je fini par faire. Juste avant que ma vision se brouille, je l’entends murmurer.

— L’élément principal du repas est prêt.

Ses mains souillées de mon sang s'agrippent autour de ma gorge et me réveillent étrangler par ses mains. Pris de stupeur en essayant de me dégager de son emprise. Ses mains se ressent de plus belle, ne laissant aucun son s’échapper. Je sentis quelque chose en moi autre le fait de l’entaille qu’il m'a infligée, il est entré en moi sans mon consentement. Une odeur de fer circulait dans l’air à ce moment-là.  Il m’infligea des coups aussi dur, il me donna des gifles pour que j’arrête. Je n'émettais plus un son, le regard vitreux et vide.

J’ai tourné de l'œil et me suis évanoui plusieurs fois alors qu’il était en train de me baisser comme un vulgaire déchets. La dernière fois que je me suis évanoui c’était juste avant qu’il éjacule en moi.  Cette fois, je me suis réveillé avec des douleurs aux côtes, et je me sentais bizarre. Il pensa à mes blessures, et trouvant que celà était superficiel il ne m'emmène pas à l’hôpital. Par peur des représailles. Il me fit garder le silence et je finirai par oublier ce qu’il c'était passé. Il avait été trop loin, me forçant à ne plus aller voir personne le temps que la balafre se cicatrise et que personne ne pourrait le remarquer. Je ne vis personne pendant des mois, en m’enfermant dans ma chambre pour ne pas que je m’échappe ou que sais-je. Il donne des nouvelles de moi à  mes parents ne pouvant plus répondre où bien utiliser mon téléphone. Je devais mentir à mes parents en disant que tout allait bien, mais ma voix était emplie de détresse insoutenable. Ils l’avaient remarqué mais ne voulant rien dire ils se sont tu jusqu’à ce que j’en daigne expliquer les morceaux dont je me souvenais. Au début tendre et la fin dure. Je n’aurais pu imaginer une suite à part si celà était dans mon cerceuille si je ne m’en étais pas sorti.

Ce jour-là, juste après m’avoir infliger ça. Il apporta le repas aux “sang de bœuf". à la vue de ce qu’il y avait dans le bol, je vomis tout ce que j’avais pu, tout ce qu’il me restait. Assigné par l’horreur,  porte la main sur ma bouche mais je ne cesse de vomir. Il l’éloigna de ma vue et m’essuia, incapable de m’installer seul avec cette chose que me lance à chaque mouvement brusque ou du quotidien.

If I Can Say (BxB)Donde viven las historias. Descúbrelo ahora