Chapitre 27

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Il referme incessamment sous peu quand il voit que ce n'est que les produits qui sont tombés et que je n'ai rien. Mais cette position laissait tout apparaître de mon corps ainsi exposé. Mes fesses en l'air comme si tout ça était prévu. Quand il la referme, il place sa main sur sa bouche avant de marmonner un désoler. Je n'ai pas fermé la porte. Je prends l'essuie posée sur le bord du lavabo. Le pyjama que jörgen m'as prêté... Le bas... Hum est beaucoup trop grand pour que je passe dedans. J'enroule la serviette autour de mon cou pour sortir. Le t-shirt laisse apparaître un morceau de mon épaule et laisse cacher mon caleçon.

— Jörgen?

J'entends qu'il pose ses affaires et relève la tête. Des papillons se forment dans mon ventre.

— Tu n'aurais pas un pantalon plus petit?

Il lâche tout ce qu'il à en main, et frémit quand il me voit arriver dans cet accoutrement. Alors qu'il en est l'auteur de cette tenue. Le long t-shirt blanc laisse apparaitre mes longues et fines jambes légèrement muscler.

— Hum, je ne pense pas. Pas d'inquiétude, je ne dormirais pas, j'irais en bas sur le canapé. Met toi à l'aise et fait comme chez toi surtout.

Il cacha ses pommettes roussie par l'envie ou la gêne. ce qui le fait paraître plus enfantin que son air robuste de tous les jours. Son air plutôt impassible et taciturne. Ma cage thoracique se lève de façon irrégulière quand je contourne son bureau. Intrigué par ce qu'il est entrain de faire. Je regarde par-dessus son épaule. C'est un autre manuscrit qui n'as pas encore été proposé et dont je n'ai même pas entendu parler. Il le regarde attentivement et ne remarque pas ma présence dans son dos. Ma tête est penchée bien trop proche de son oreille ce qui le fait sursauter et frissonner en même temps. Quel combo des plus insolites.

— Excuse-moi, ce n'était pas mon intention.

Il c'est beaucoup trop relâcher comme si ma présence était comme celle d'un meuble. Sa concentration est des plus admirable que de plus intrigante.

Il pivote sa chaise pour me faire face.

— Tu es bien curieux il me semble Edern.

— Ce n'étais pas... Pas intentionnel.

Jörgen tira sur mon poignet qui me fit chanceler et forcer à mettre un genou sur le siège ou il est assis actuellement.

— Un curieux petit renard. Me dit-il en déposant sa main sur ma cuisse des plus accessibles.

Je ne fais comme si de rien était et force mon autre jambe à se déposer de l'autre côté de sa cuisse. Me retrouvent dans une des positions gênantes.

— Ow, lâchais-je dans un souffle. J'ai fermé les yeux et il déposa ses mains sur mes hanches.

Ce n'étais plus de la peur qui m'envahissait par rapport aux hommes mais c'était bien l'envie de succomber encore une fois à des plaisirs charnels. Je dépose mes hanches sur ses cuisses. Presque torse contre torse. Je dépose ma tête dans le creux de son cou pour recherche ne serait-ce qu'un peu de réconfort. les évènements ne m'ont pas refroidis À quelques centimètres de succomber, sent ma verge se gonfler. Je descends de ses jambes pour retourner dans le lit. Malgré que mon corps en veuille beaucoup plus que ce traitement, la seule envie est de succomber à ce qui me maintient à présent. Mon esprit ne résistera pas à succomber et à se maintenir en place avec toute cette ébullition de la journée.

— Va te reposer, je dormirais en bas.

— Hum... C'est chez toi, je vais aller dans le -...

— Hors de question.

— Bien... Dis-je.

Il reprit ce qu'il faisait, une phrase me trottait en tête, quand le cœur parle la raison oublie tout raisonnement.

If I Can Say (BxB)Where stories live. Discover now