Chapitre 4

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L A  R E N C O N T R E


Je toque et une voix féminine m'invite à entrer.

Prof' : Bonjour, c'est toi Maeva ?

Moi : Oui, c'est moi.

Prof' : Ok, je te laisse te présenter devant la classe, mais avant, je me présente, je m'appelle Madame TAYLOR, je suis ta professeure d'histoire enchantée. À ton tour *le sourire aux lèvres*

Je suis vraiment gênée de me présenter comme ça, surtout qu'il me regarde tous avec insistance.

Moi : Bonjour, je m'appelle Maeva NGAYTI, je viens d'arriver sur Paris avant, j'habitais à Nice et le plus important, je suis congolaise.

Garçon : ENFIN UNE CONGOLAISE

Tout le monde rit, moi y compris. Je m'y attendais pas du tout

Prof' : Steven ! Bon Maeva, tu vas aller t'asseoir à côté de Sophia KHALIF, Sophia lève la main.

Je m'approche de Sophia, elle est très magnifique, Dieu soit loué ! Je m'assois à côté d'elle.

Sophia : Salut ça va ? Dit-elle en souriant

Moi : Ça va et toi ?

Sophia : Ça va, bon moi aussi, je vais me présenter, je m'appelle Sophia KHALIF, je suis marocaine égyptienne. Maroc, le meilleur pays du monde bien évidemment.

Moi : Ta menti, le Congo, c'est mieux.

Et voilà, c'est parti dans un débat qui a duré jusqu'à la fin de l'heure, et on a bien rigolé. Je l'aime bien Sophia, elle est sympa.


Lundi 12 h 30 :

C'était l'heure de manger, mais comme je ne pouvais pas manger à la cantine, je suis sorti en me dirigeant vers le Macdo le plus proche. C'est alors que Sophia m'interpelle :

Sophia : Tu vas au Macdo ?

Moi : Oui, on ne m'a pas passé ma carte de cantine, heureusement que j'ai pris de l'argent. Toi aussi, tu vas au Macdo ?

Sophia : Oui, j'y vais, viens on y va ensemble, je n'ai pas trop d'amis ici.

Moi : Ok ! T'es nouvelle toi aussi ?

Sophia : Non moi, je suis là depuis longtemps, c'est juste que les filles du lycée, elles me parlent que par intérêt.

Moi : Pourquoi tu dis ça ?

En même temps, on arrive au Macdo

Sophia : Attends, on commande après, je t'explique.

Moi : Ok vas-y je vais prendre des places en attendant.

Quelques minutes après nos commandes arrivèrent et elle reprît :

Sophia : Je n'ai jamais eu vraiment d'amies ici, elles me parlaient que parce qu'elles voulaient avoir mon frère. De fois, elles venaient chez moi et je l'ai retrouvée dans la chambre de mon frère en faisant, tu sais quoi...

« Si je t'aime, je t'aimerai jusqu'à te haïr » Où les histoires vivent. Découvrez maintenant