Chapitre 8

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Bonne lecture💕,

Quelques minutes après ils reviennent...

L'atmosphère était glaciale personne osé parler...

Ibrahim : Y a eu un mort ou quoi ici

Amine : J'avoue, je comprends pas pourquoi personne ne parles

Moi : L'atmosphère est vraiment pesante ici

Je sens que quelqu'un me regarde, et je savais tout de suite que c'était lui. Alors, j'ai levé la tête pour le regarder, mais maintenant je me rends compte que c'était une mauvaise idée... Quand nos regards se sont croisés, j'ai ressenti une énorme haine venant de lui, et ça m'a fait peur. Malgré ça, je n'ai pas réussi à détourner mes yeux, comme si son regard intense et sombre m'hypnotisait.

On est restés là, à se regarder pendant quelques secondes qui semblaient durer une éternité, puis finalement, j'ai baissé mes yeux parce que son regard était vraiment trop intense à supporter. J'avais l'impression que toute sa rage et sa colère se déversaient à travers ses yeux, et ça m'a mis mal à l'aise.

Et il part encore une fois.


Moi : Super l'ambiance *agacée*

Sophia : *souffle* Je vais aller lui parler

Moi : Non c'est pas grave

Sophia : T'inquiète je gères




DANS LA PEAU DE SOPHIA


Je monte dans sa chambre et avant d'entrer, je décide de toquer à la porte. N'obtenant aucune réponse, je pousse doucement la porte et entre dans sa chambre. Il est sur son lit, le nez plongé sur son téléphone.

Igor : Je t'ai demandé d'entrer ?

Moi : Non mais ce n'est pas grave, on doit parler tous les deux.

Igor : Si c'est pour me parler de ta keh qui te sert « d'amie » je vais te faire bouffer le sol Sophia. Dit-il sèchement

Sophia : Elle n'est pas comme ça...

Igor : C'est mieux, t'arrêtes de lui parler parce que j'en ai marre de te prouver que tes potes sont des kehba.

Sophia : Écoute-moi juste deux secondes !

Il lève sa tête pour me regarder.

Moi : J'en ai marre, tu comprends ! Pour une fois il y a une fille qui essaye réellement d'être mon amie sans qu'il y ait toi au milieu. Maeva n'est pas comme ça, c'est la première fille qui ne passe pas par moi pour t'avoir, alors arrête de l'a traité de ce qu'elle n'est pas !

Igor : Tu sais quoi, on verra. Quand je t'aurai prouvé que c'est une grosse chienne ne vient pas pleurer dans mes bras ok ?!

Moi : Tu ne changeras jamais. J'ai cru que la prison allait te faire grandir, te faire changer les idées. Mais tu es devenu pire qu'avant. Quand est-ce que tu vas changer S-

« Si je t'aime, je t'aimerai jusqu'à te haïr » Où les histoires vivent. Découvrez maintenant