Chapitre 24

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La salle ce vida sur moi et Sarah qui essayait de me calmer, quand la porte s'ouvre brusquement sur Ali .....................

J'ai lâché un soupir de soulagement .

Sarah: Alii ??

Ali: Salim était là !

On s'est regardé choquer, mais comment il le sait ?

Moi: Comment tu.......

Il me coupa la parole un sourire naquit sur ces lèvres, puis rajouta.

Ali: Comment je le sais ?, Je sais tout ce qui se passe ici avec la moindre détail..

Je suis restée perplexe, enfaite je n'aurai pas dû le sous estimé , ils sont bien plus dangereux qu'ils en ont l'air.

Ali: Prenez vos affaires ont rentre à la maison .

Nous ne discutons pas à sa requêtes , tout le trajet se fait en silence. Il nous dépose au seuil de la porte et s'en va .

Moi: Mais... Ou va t'il ?

Sarah: Faire des saletés surement !!

Moi: ah .

****

J'étais levé au rebord de la fenêtre entrain d'admirer la vue qui se trouvait devant moi , la piscine éclairé par le soleil brillant l'eau bleuâtre était si calme avec l'image des feuilles qu'ont pouvais apercevoir dessus lui donnait la finesse d'une danse africaine accompagné d'une mélodie de flûte et de violon . Le vent à la fois chaud et frais caressait ma peau noire résistante à tout les changements climatiques.
Je me souviens de mes parents, de mes proches , de mes rêves et de mes espoirs, de tout ce qui m'est arrivé depuis que je suis sur cette terre étrangère,je remettait ma foie en question Subana'Allah , je me demandais si Dieu entend mes prières, si seulement je pouvais vivre une vie normale comme les autres et n'être plus jamais la proie d'un psychopathe dangereux, sans m'en rendre compte une larme perla sur ma joue avant que la serrure de ma porte ne se baisse.

Khalti Fatima venait de rentrer dans ma chambre, elle me lança un regard désolé comme si elle pouvait savoir a ce moment précis ce que je ressentais.
J'essuie aussitôt le larme qui m'avait trahit .

Khalti Fatima : Ma fille comment tu vas ?

Moi: Je vais bien Khalti je n'ai rien .

Khalti Fatima : Par contre ses larmes que j'ai vu tout-alors était des larmes de tristesse .

Elle marqua une pose en me regardant dans les yeux comme pour y lire .

Khalti Fatima : Dit moi ce qui te chagrine autant ?

Moi: Je..je....je vais bien ne vous inquiéter pas pour moi.....je vous assure que tout va bien ?

Khalti Fatima : Voyons Rose, il suffit de te regarder pour savoir que tu n'es pas heureuse....

Elle avait raison je n'étais pas heureuse, je ne pouvais pas être heureuse même si je le voulais quelques choses me bloquait, j'avais ce sentiment d'insécurité, cette manque dûr de mes parents de la vie que je menait, j'ai toujours ce doutes qu'il puisse m'arriver un truc, je pense tout les jours à mes parents et je me dis que je ne l'ai rêverai peut être jamais que je vais peut mourir...Rien que l'idée de mourir est entrain de me tuer a petit feu ...
Mes larmes me trahissent encore une fois et Khalti prend mon visage entre ses mains et me dit ... ..... ...... ..... ...... .... ... ... .... .

Khalti Fatima : Regarde moi ma fille !
Tu sais que tu peux tout me dire, tu es comme ma fille ?

Moi: Je.. je ne me sens pas en sécurité, j'ai toujours cet effroyable sentiments en moi !! Mes parents me manquent énormément, ma maman me manque..... j'aimerais qu'elle soit avec moi, j'aimerais lui dire tout ce qui m'arrive pour qu'elle m'apaise avec ces mots tellement douces , mais je ne peux rien lui dire je ne veux pas qu'elle aille mal à cause de moi ...

UNE ROSE POUR LUI Where stories live. Discover now