𝟳. 𝗟𝗲 𝗱𝗲́𝗯𝘂𝘁 𝗱𝘂 𝗰𝗮𝗹𝘃𝗮𝗶𝗿𝗲.

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« - Oh, et puis merde, tout ça m'énerve. »


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La soirée allait prendre part de notre journée, étant en hiver, le soleil disparaissait du ciel très rapidement laissant place à la magnifique lune de nuit. Le froid avait prit la totalité de mon visage, rendant mon nez tout sec et rouge.

Mes mains l'étaient aussi, c'était dans la souffrance des coups de vent que je rejoignis difficilement le pilier dans une course contre le temps pour arriver près de la ville avant la tombée de la nuit. Personne n'osait parler, sûrement dans la gêne de nos journée secouée par notre énergie. Je repensais à tout ce qui c'était passé.

Les pleures vulnérable devant lui,

le bain avec lui

et l'embrassade indirecte par lui.

Plus le temps d'écoulait et plus je me rapprochais de ce dernier. C'est à se demander si le prochaine étape ne se passera pas dans lui.

Je fus rouge lorsque ma pensée dériva si brutalement dans un idée qui n'est pas mienne, je ne l'assumerais jamais. Nous arrivons très rapidement au village car nous sommes en fait assez proche. Par contre, la nuit tombait si facilement que c'était grâce à mon intelligence que nous nous retrouvons. C'était moi qui dirigeais la marche. Je connaissais le chemin jusqu'à l'auberge par cœur face aux précédents évènements et c'est de cette façon que nous voila dans le lieu désiré.

Attend, arrêtes-toi.

Je me retournais, un peu surprise qu'il m'est parlé, mais secouée qu'il me demandait cela. Je me stoppais net car ma confiance en lui augmentais de jour en jour. Il m'avais montré en cet entraînement à quel point il pouvait être sérieux et fort en mission, lorsqu'il effectue son travail. Je regardais tout autour de moi, ne comprenant pas pourquoi il me demandait de m'arrêter. D'un coup, il mit sa main sur sa tête et grimaça, comme si il commençait par avoir un mal de tête. Soudainement, peu de temps après, c'est des envies de vomir qui me prit le ventre.

Je resserrais mes bras sur mon faible ventre, cela m'arrivait fréquemment mais quand bien même, je trouvais cela plus que suspect que nous sommes à nous deux atteint d'un mal germant dans le corps.

Tu ne sens pas ? Me demanda t-il alors.

Il planta ses yeux dans les miens, je fus surprise, prise d'une réflexion sans limite, ressentir quoi ? Étais-je si faible que ce qu'il ressentait ne m'était pas destiné ? Possible.

Mais dans ce cas là, pourquoi j'avais si mal au ventre ? Cela ne répondait pas à mes questions inquiétantes. Je me baissais, sentant le pire arriver. Je paniquais et commençais à donner mon chat à Shinazugawa. Il comprit directement ce qu'il allait suivre. Dans la folie, c'est ma main qu'il prit après avoir récupéré Chikara.

Tout ce que j'avais précédemment mangé durant cet entraînement venait de ressortir de mon ventre. Je me sentais terriblement sale, et pour couronner le tout, c'était devant lui que j'avais vomi mes tripes. J'acceptais encore le fait de pleurer en face de sa personne mais vomir, je trouvais sa absurde.

𝐋𝐄 𝐂𝐎𝐌𝐁𝐀𝐓 𝐍𝐎𝐔𝐒 𝐑𝐀𝐏𝐏𝐑𝐎𝐂𝐇𝐄 | SANEMI X OCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant