𝟭𝟬. 𝗣𝗮𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗺𝗼𝗶.

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Média fais par mes soins, illustrant le début du combat final.







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« - Calme et colérique, un mélange spécial... »


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C'est dans ses pensées que mon cerveau se concentra d'avantage. Je pouvais reconnaître cette aura, oh que oui. Mes nausées reprirent, mais qu'est-ce que je m'en branlais!

Je couru alors plus rapidement, une poussée de vitesse se fit entrevoir. Je prenais en puissance, c'était surprenant. Je ressentais des âmes autour de moi, comme si elles me portaient chances, mais, étant trop concentrée, je ne l'ai ai pas plus prêtée attention.

Car oui, j'étais obnubilée par le spectacle qui se déroulait en face de moi. Troublée ou pas, c'était la rage qui me consumait. Horrible ou pas, je ne désirais que tuer l'auteur du massacre.

La vielle dame, enfin, ce qu'il en restait. Mon chat dans une marrée de sang, d'un visage apeuré. Je fus tremblante, directement. Mais ce qui me préoccupais le plus à cet instant, c'était le corps de Sanemi, à cet arbre.

Fermant les yeux, ce dernier ne semblait pas réussir à respirer correctement, il avait le torse fissuré de partout, sans parler de son visage qui était recouvert de blessures. Sans réfléchir, je courrais dans sa direction, je ne pensais plus qu'à lui, je voulais le voir vivant, suis-je arrivée trop tard? Non, pitié, non!

- Sanemi! Pleurais-je. Oh, non, s'il te plaît, reste avec moi!

Je touchai alors son torse qui était dans un état pitoyable. Il ne parlait pas, me regardait simplement faire. Il respirait par la bouche, me montrant alors qu'il peinait à faire cet acte. Je tremblai, essayant de ne pas lui faire mal, j'ai si peur.

- Sanemi, dit moi que tout va bien, je t'en supplie!

J'arrachai alors mon vêtement de pourfendeurs, ma manche déchirée, je le serrai sur son torse, afin de stopper l'hémorragie. Encore une fois, il semblait me regardait faire, complètement soumis à mes soins. Un grand silence planait dans cette ville, il n'y avait personne, comme si c'était désert.

Je regardai derrière moi, le corps de la mamie qui me fendait le cœur. Celui de Chikara m'hurlait de le prendre et de le serrer, mais je n'avais pas le temps pour cela, il fallait m'occuper de ce qu'il y'avait de vivant encore. Il fallait s'accrocher.

- Parle! Où est le démon? Je serrai alors plus fort le tissus, entendant une plainte auditive de la part du pilier.

- Tu me nique! Il me toisa du regard. Je sais pas, je me suis évanouie, merde.

Toujours aussi violent, je l'ignorai, malgré moi. J'étais sous nerf, trop énervée pour répondre à ce qu'il me disait. Au lieu de sa, je caressai ses cheveux tendis que mon autre main prit la sienne après avoir finis tout ce que je pouvais soigner.

Il fermait ses yeux, et je lui demandait de les réouvrir, ce qu'il fit sans plus tarder. J'avais peur qu'il me quitte de cette façon. Je préférais qu'il lutte contre la fatigue pour l'instant, encore quelques heures et nous serions loin de tout sa, je l'espérais. Il me regardait encore faire, je m'avouais intimidée, car je repensais à ce qu'il m'avait poussé à le retrouver.

𝐋𝐄 𝐂𝐎𝐌𝐁𝐀𝐓 𝐍𝐎𝐔𝐒 𝐑𝐀𝐏𝐏𝐑𝐎𝐂𝐇𝐄 | SANEMI X OCWhere stories live. Discover now