chapitre 67

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Bizarre

Je me réveille tout content, j'ai un gout de bonheur dans la bouche et qui se propage dans tout mon corps.
Qu'est-ce qu'on a fait hier? J'en reviens pas, je n'arrive même pas à réaliser... c'était fantastique je ne pensais pas aimer ça, mais c'était plutôt pas mal.
Est-ce que je recommencerai ? Je ne sais pas.
J'ouvre les yeux et je regarde mon lapin. Je me demande s'il va être comme moi j'ai été le lendemain...
Il ne l'avait jamais fait comme ça avec quelqu'un, ça veut dire que je l'ai dépucelé?
Je ne sais pas, mais en tout cas c'était fantastique.
Cet échange n'était pas comme les autres, je le garderai en mémoire toute ma vie. Je ne sais pas s'il voudra qu'on refasse ça un jour, mais en tout cas il me fait vivre toutes les émotions possibles qui existent.

Kook- bonjour ma pucelle.
Moi- bonjour mon lapin.
Kook- bien dormi?
Moi- parfait et toi comment tu te sens?
Kook- comme un homme au comble du bonheur.
Moi- tu es sûr?
Kook- oui avec toi, je vis tout ce que je n'ai jamais vécu alors quand j'ouvre les yeux le matin, je ne peux être qu'heureux.
Moi- si tu savais, je ressens exactement la même chose. Je n'ai même pas ouvert les yeux que je me dis qu'avec toi je vis tout ce que je n'ai jamais vécu.
Kook- avoir une personne comme toi dans sa vie c'est quelque chose d'unique alors comment ne pas être rempli de joie en se réveillant le matin.
Moi- je t'aime.
Kook- moi aussi.

On s'embrasse et on se fait des câlins pendant notre réveilliation... vous avez vu, je suis tellement sur mon petit nuage que j'invente des mots.

Moi- c'est quoi le programme d'aujourd'hui?
Kook- être seulement tous les deux et rester dans notre bulle. À part ça, on peut faire tout ce que tu veux ma pucelle.
Moi- d'accord, pour le moment je n'ai pas vraiment envie de bouger.
Kook- ça tombe très bien, moi non plus.

Il me prend dans ses bras et me serre un peu plus fort contre lui.

Moi- est-ce qu'on en parle de ce qu'on a fait hier soir?
Kook- si tu veux, vas-y, je t'écoute ma pucelle. Tu veux qu'on parle de la petite séance avec les jouets ou de quand tu m'as pénétré?
Moi- bah en fin de compte, on n'a pas besoin d'en parler... je trouve ça mégagênant.... il rigole légèrement.
Kook- pourtant j'ai eu l'impression que tu aimais ça. Ta respiration saccadée, ton corps qui brûle de désir, tes joues rouges d'excitation, ta bouche qui ne sort que des bruits obscènes. Hummm....
Moi- bon! Ça va aller là. Il éclate de rire.
Kook- ben quoi faut assumer mon cœur, j'ai bien vu toutes ses choses. Je t'ai vu aimer tout ça.
Moi- toi aussi d'abord.
Kook- oh que oui, j'aurais voulu que cette soirée dure toute une vie...
Moi- moi aussi...

Je me cache un petit peu dans son cou, n'assumant pas totalement notre expérience.
Depuis tout à l'heure, je pense à ce que je lui ai fait, mais il y a aussi ce que lui m'a fait avec les jouets, j'ai adoré ça, mais de là à dire à voix haute.
D'ailleurs on s'est endormi comme ça sans rien ranger.
D'un coup je me redresse et il me regarde avec étonnement. Je balaye des yeux la chambre et je suis soulagée de voir qu'il a tout rangé.

Kook- qu'est-ce qu'il y a ma pucelle?
Moi- on va se faire un petit déj, j'ai une faim de loup?
Kook- heuu ok, si tu veux.

Il me fait un baiser, sort du lit et je l'observe...
Il se met debout.... s'étire... s'avance pour attraper des vêtements et il fait le tour du lit pour venir de mon côté.
Il se met à genoux au bord du lit pour être à ma hauteur et il me fait un magnifique sourire.

Kook- qu'est-ce qu'il y a mon cœur? Pourquoi tu me fixes comme ça?
Moi- ça va?
Kook- parfaitement bien, pourquoi?
Moi- bah... heuuuu....comment dire...
Kook- ah ma pucelle est de retour, qu'est-ce qu'il y a? Y a rien de gênant là.
Moi- c'est pas ça, je voulais savoir comment toi tu vas, parce que moi, le lendemain, ben je n'étais pas au top de ma forme... il rigole
Kook- ben oui, mais on n'a peut-être pas tous la même capacité à encaisser.
Moi- ça veut dire quoi ça? Je ne suis pas un faible.
Kook- non bien-sûr que non, mais c'est un endroit que j'avais quand même déjà exploré donc ce matin certes j'ai une petite gêne, mais pas au point de tomber par terre. Il se rapproche de moi et parle près de mon oreille. En plus tu as été doux et exquis. Tout n'était que volupté comme si j'étais la chose la plus fragile au monde et qu'il fallait prendre soin de moi.
Moi- tu m'as dit de faire exactement la même chose que ce que tu me fais alors maintenant tu sais ce que je ressens à chaque fois...

Dans ses brasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant