[chensung:; markhyuck]
❝ - Rohh mais allez ! Justement, ça va être l'occasion de te faire de nouveaux amis !
Le jeune chinois roula des yeux.
Il avait déjà une bande de pote et elle lui suffisait largement. Pourquoi perdre du temps à connaître une...
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– Ne t'en fais pas Jeno, je gère la situation à partir de maintenant, rassura Jisung en offrant un petit sourire à son aîné.
Ce dernier le fixa, incertain. Il ne savait pas si cela était une bonne idée de les laisser après ce qu'il venait de se passer.
– Tu en es sûr ? Je peux–
– Jeno, tout vas bien. Vraiment. Elle ne reviendra pas, je le sais.
– Bon... Après un dernier soupire, Jeno abandonna l'idée d'insister davantage, n'hésite surtout pas à toquer à ma porte si quelque chose ne va pas, d'accord ?
– Oui, merci.
– Nono ?! Partir déjà ? Demanda Yaeil en accourant vers les adultes.
Jeno hocha la tête, un doux sourire sur le visage. Il caressa ensuite la chevelure du jeune garçon.
– Oui, oncle Nono doit rentrer chez lui. Mais je te promets qu'on se reverra très vite, d'accord ?
– Mhm !
Jisung offrit un dernier sourire au plus âgé puis après s'être salué une toute dernière fois, il referma la porte d'entrée, s'assurant qu'elle soit bien fermer à double tour. Le départ de Jeno le refroidi très rapidement, se sentant de nouveau en danger. Mais il savait que ce n'était qu'une impression. Elle était partie donc il n'y avait aucun danger, pas vrai ? Et puis, il ne pouvait pas commencer à angoisser sinon il ferait peur à son fils et c'était honnêtement la dernière chose qu'il voulait.
– Papa.. ?
L'appelé se tourna vers son fils et lui offra un sourire qui se voulait rassurant. Là, il se baissa à la hauteur de Yaeil et lui caressa délicatement les cheveux, l'incitant à continuer ce qu'il avait à lui dire.
– Est-ce que.. Papa avoir problème.. ?
– Quels problèmes, mon cœur ?
– Tu as l'air d'avoir peur et j'aime po ça... Murmura le petit garçon avec une moue boudeuse sur le visage.
Jisung ricana doucement, voulant à tout prix que l'atmosphère soit plus détendu : il ne voulait pas commencer à effrayé son fils. C'est pour ça qu'il passa ses bras autour de Yaeil et le porta jusqu'au salon. Là, il prit place sur le canapé et accompagné d'un doux regard, il rassura Yaeil :
