25. Ton odeur me manque

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Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes et n'hésitez pas à me corriger si nécessaire.

Bonne lecture 💗💗

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Ma joue me lançait énormément suite à la gifle que je me suis prise. Bien que j'essayais de me protester, c'était impossible. Aucun mot ne parvenait à sortir de mes lèvres, personne ne pouvait entendre mon cri de détresse.

- Tu vas bien t'amuser...
Chuchote Kiara d'un air amusé

Mon cœur commençait à palpiter dans ma cage thoracique. Et je commençais à m'énerver de plus en sentant leurs mains tenir fermement mon bras.

Je n'avais aucune idée d'où elles étaient entrain de me guider, mais elles comptaient bien se distraire diaboliquement avec moi.

En voyant mes pas se ralentir difficilement, elles accentuent la force qu'elles exerçaient sur mes bras, me faisant signe d'avancer.

- Avance !
M'ordonne-t-elle

Je lui lance un regard haineux pendant qu'elle souriait avec Kiara. Ma respiration devenait plus lourde chaque seconde.
L'instant suivant, mes yeux s'ouvrent faiblement face à l'endroit qu'elle m'amène.

Bon sang, pourquoi il n'y a personne dans ces foutus couloirs ?

Une boule pénible s'installe dans mon ventre en voyant leurs mines détestables et mauvaises. Je balaye les alentours du regard et constate qu'elles me dirigent vers la cantine.

Cantine ? Sérieusement, j'ai du mal à croire qu'elles ont un cerveau derrière les yeux...

- Entre, putain !
S'énerve Kiara

J'inspire profondément afin de me calmer, mais impossible. La situation s'empirait chaque instant. Je regarde partout désespérément afin de trouver quelqu'un. Mais seuls nos pas et nos bruits se faisaient entendre.

Je perds espoir lorsqu'elles entrent dans l'espace personnel pour les employés. Personne ne se trouve ici à cette heure.
Ma salive reste bloquée dans ma gorge au moment où je lis l'écriture sur la porte.

" Chambre froide."

Je regarde chacune afin de savoir si elles étaient vraiment sérieuses. Je criais, mais seuls mes gémissements pouvaient s'entendre.

Mais mes mains tremblaient d'une façon anormale, une chaise se trouvait au milieu de cette chambre gelée. Je balaye les alentours du regard et j'aperçois que le lieu n'est rien d'autre que pour congeler la nourriture.

Elles ne vont pas m'enfermer, n'est-ce pas ?

La seconde qui suit, elles répondent à ma question en me faisant s'asseoir par obligation sur la chaise. Je me débats en agitant mes jambes et mes épaules.

Je sentais mes larmes me menaçaient, mon cœur battait rapidement. J'avais peur. Mais ces dernières me font arrêter d'agiter lorsqu'une d'entre elles empoigne sauvagement ma chevelure. Un gémissement de douleur m'échappe, elle tirait férocement. Elle m'a lâché une fois mes jambes attachées.

Je voulais enlever ce fichu tissu qui m'empêchait de parler ainsi que les cordes qui me tenaient prisonnière sur cette chaise. La colère montait peu à peu en moi.

- Il faut que je garde ce moment en souvenir...
Rit-elle

La seconde qui suit, je vois Kiara sortir son portable afin de me prendre en photo.

Loving your hateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant