31. Adrénaline

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Avant de commencer la lecture n'oubliez pas de voter et commenter s'il vous plaît !! Ça me donne du courage !

Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes et n'hésitez pas à me corriger si nécessaire.

Bonne lecture 💗💗

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Petit résumé du chapitre précédent:

Après que Lilas ait déménagé dans un nouveau appartement loin de ses parents adoptifs, elle décide d'y retourner afin de prendre ses affaires laissé là bas.
Lorsqu'elle rentre dans la maison, peu de temps après, les polices débarquent et les emmènent au commissariat avec eux pour une raison qu'on ne connaît pas encore.

( j'espère que j'ai un peu rafraîchi votre mémoire avec ça haha 💗 )

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Les policiers tenaient fermement les bras de mes "parents", ils balbutiaient des mots inaudibles, incompréhensibles qui me laissaient poser des questions.

Mon cœur battait mille à l'heure. Je n'ai rien à craindre, mais la peur de ce qui va m'arriver la suite me guide à à voir une douleur dérangeante dans mon ventre.

Je suis sans sortir un seul mot de ma bouche les policiers avant de rentrer dans la voiture.

- Écoutez, on a rien fait ! Lâchez nous !
Se proteste l'homme qui est censé être mon père

- Ce n'est pas ce que vous croyez ! On est innocents !
Dit la femme qui est censée être ma mère

- Vous ne savez même pas de quoi vous êtes accusés, mais vous protestez déjà être innocents. Vous expliquerez ceci aussi.

Il se tenait prêt à le contredire, mais après quelques moments de réalisation la conscience le gagne et fait un signe de tête à sa femme.

Je les regardais dans un silence tuant lorsqu'elle décide de le rompre d'une voix menaçante.

- Toi...C'est à cause de toi, sale garce !

Je lui réponds par un silence qui la met encore plus en colère qu'elle ne l'était déjà. Si elle n'était pas attachée, je suis certaine qu'elle n'aurait pas hésiter à me blesser.

- Tais-toi.
Préviens une des polices

Elle me lance un dernier regard noir avant d'arriver à la destination. En sortant, tout le monde nous regardait avec curiosité. Certains chuchotaient, jugeaient, se moquaient presque.

C'était intimidant.

Embarrassant.

Mes yeux cherchaient sans cesse un refuge pour me sentir plus en sécurité. Mes parents qui marchent à lents pas devant moi, les mains attachées comme des prisonniers, la tête baissée. Ils se demandaient sûrement pourquoi je ne suis pas attachée comme eux.

Une présence se ressent dans mon dos, comme un soutien.
Je réponds à un policier, Bryan, par un sincère sourire malgré mon angoisse.

- Ne t'inquiète pas, ça va aller.

- Oui, merci.

Quelques minutes passées, la commissaire du police fait sa présence en lançant un regard sale aux deux personnes attachées devant elle.

Loving your hateWhere stories live. Discover now