Chapitre 8. Soirée inoubliable

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T'aimer est mon obsession prinzessin.






Dans la peau de Rome























Le lendemain.

- Alors, il est où ton... petit ami, lui Susurai-je à l'oreille en me tenant derrière elle.

La soirée vient à peine de commencer et j'en ai déjà marre d'être ici. Si je suis encore là c'est bien pour elle, elle se retourne doucement vers moi pour implanté ses yeux verts aux miens.

Je préférais mille fois le marron, pensais-je

- Et moi les noirs.

- Pardon ?!

- Non rien. Mon copain arrive bientôt il a dû aller dans un rendez-vous de dernière minute à son entreprise, dit-elle en fuyant mon regard.

- Ah bon ! Et il est quoi ton petit ami, c'est quoi son poste en fait ?

- Euhm, il... il est, il est gestionnaire, oui c'est ça il est gestionnaire, finit-elle par dire.

- Alors il doit avoir détourner une somme assez importante pour avoir été convoqué à une heure si tardive de la nuit.

- Non, mais tu te prends pour qui de traité mon petit ami de fraudeur là...

- Je sais ce que je dis Julia, ton petit ami a de très gros problèmes.

- Pas vraiment non, répond une voix grave derrière moi, je me retourne pour voir un homme à peu près mon âge s'avancé vers nous, il me salut brièvement puis dépose ses lèvres sur les siennes.

IL A DÉPOSÉ SES PUTAINS DE LÈVRES SUR LES SIENNES, BORDEL DE MERDE. J'ai pas besoin de décrire ce que j'ai envie de faire à cet homme en ce moment précis.

, Je pensais que tu n'allais pas pouvoir venir, siffle-t-elle à l'homme que je n'ai cessé de dévisagé depuis qu'il a fait son apparition.

- Et te laisser ici toute seule, non merci ! rétorque ce connard comme si moi j'étais invisible.

Les dents serrés je le regarde poser ses lèvres dégoûtante sur son crâne et lui tenir la main.

- Euhm, Stiles je te présente L... Rome, Rome, mon copain, nous présente-t-elle comme si j'avais quelques choses à foutre de son mec.

- Enchanté, prononce celui-ci en me tendant la main, pourtant je ne flanche pas d'un pouce le dévisageant ouvertement de ces putains de lentilles bleues, je préfère mille fois les miens, ils sont plus intimidant.

- Y'a pas à être malpoli Rome, me réprimande Julia comme si j'étais son gamin.

Je fais un pas en arrière et dans un dernier regard pour elle je quitte le balcon pour rejoindre la festivité, si au début j'avais des doutes maintenant c'est confirmé, je ne veux pas être ici.

Je pousse un énième soupir en avalant une gorgée de mon verre de champagne, me voilà piégé dans mon propre piège, j'ai voulu conquérir une femme qui est non seulement prise mais m'a aussi oublier. Devrais-je abandonné ? Il n'y a que les lâches qui abandonne et je suis loin d'en être un, je compte bien récupérer ce qui est à moi, elle m'appartient et ceci depuis le jour même où je l'ai percuté au supermarché.

UNHEALTHY OBSESSION TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant