Chapitre 9

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Attention ce chapitre contient plusieurs scènes qui peuvent être dur à lire.

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In the silence of sorrowful eyes, echoes the resonance of hidden grief.

Quelques heures auparavant, au sein de sa demeure, Chae-Yeong partageait des moments complices avec son fils dans le salon. Une joie ineffable illuminait son visage, comblée d'avoir son précieux enfant à ses côtés, d'autant plus qu'il semblait s'épanouir harmonieusement. Malgré son jeune âge, il exprimait parfois le désir de retrouver son père. Chae-Yeong comprenait que son fils n'était pas encore en mesure de saisir la gravité des actes de son père, mais elle savait que le temps viendrait où elle devrait lui révéler toute la vérité.

La sonnette la tira légèrement de ses pensées, provoquant un sursaut involontaire. Elle ne s'attendait pas à recevoir de la visite. D'une voix douce, elle demanda à son fils de rester dans le salon pendant qu'elle se dirigeait vers la porte pour découvrir l'identité du visiteur surprise. À l'ouverture de la porte, son souffle se coupa, son sang sembla se figer dans ses veines. Une femme se tenait là, arborant un sourire digne d'un prédateur, glaçant l'atmosphère de la pièce. Cette vision paralysa ses membres et annihila ses réflexes de survie, plongeant Chae-Yeong dans une anxiété palpable.

Elle la reconnut instantanément, cette femme à la maigreur terrifiante, vêtue d'une jupe rouge et d'un haut blanc qui moulait ses côtes saillantes. Ses bottes aux talons aussi pointus qu'une aiguille complétaient l'ensemble, conférant à sa présence une aura à la fois inquiétante et captivante.

Le commissaire Lee, que Chae-Yeong avait déjà croisé à cause de son ex-mari, se tenait aux côtés de cette femme. Son visage affichait une gravité palpable, et il déclara avec une violence contenue que Chae-Yeong était désormais en état d'arrestation pour maltraitance envers son propre enfant. Il ajouta que cette dernière serait placée dans un asile.

La porte se referma violemment, créant un écho sourd dans la pièce. La tension pesait lourdement sur Chae-Yeong alors qu'elle se précipitait dans le salon, animée par un instinct maternel indomptable. Ses yeux s'écarquillèrent à la vue de son fils, tenu par un policier, une figure austère au visage imperturbable.

La peur l'envahissait, mais la colère bouillonnait également en elle. Elle tenta désespérément de s'emparer de son fils, mais la réalité la rattrapa brutalement. Deux policiers surgirent pour la maîtriser, les gestes secs et dénués de toute compassion. La lutte pour la liberté était devenue un cri de douleur maternelle.

Les hurlements déchirants de Chae-Yeong résonnaient dans la pièce, un crescendo de terreur et de désespoir. Elle implorait qu'on ne lui arrache pas son enfant, criant son innocence entre des sanglots de plus en plus désespérés. Sa voix, empreinte de désespoir, se mêlait au chaos qui régnait.

Libérée momentanément de l'emprise des policiers, Chae-Yeong se débattit comme une lionne en cage, frappant dans le vide sous l'emprise d'une rage incontrôlable. La bagarre qui s'ensuivit fit voler en éclats tout semblant d'ordre. Les meubles étaient renversés, laissant la pièce dans un état de désolation.

Illusion ParfaiteUnde poveștirile trăiesc. Descoperă acum