Qui détient la vérité ?
Quelle vérité se cache derrière ce labyrinthe de mensonges ?
L'inspecteur Jeon ne devrait-il pas être troublé par l'évidence elle-même ?
Pourquoi le criminel a-t-il subitement accepté son destin ?
Après tout, il avait été...
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At a single glance, the frivolity of manners becomes apparent.
— Tenez, je vous remets une lettre provenant de votre ex-épouse, annonça-t-elle avec un sourire affable.
Elle lui tendit une enveloppe, et il la saisit rapidement.
— Qu'avez-vous bien pu faire à son intention, Jennifer ? lâcha-t-il avec acrimonie.
— Moi ? En toute sincérité, rien du tout.
Elle lâcha un petit rire comme si elle était satisfaite de la situation. Taehyung n'y prêta pas attention, il ouvrit l'enveloppe et lit le contenu de la lettre.
Il replia délicatement la lettre avant de la replacer dans l'enveloppe qui glissa dans la poche intérieure de sa veste. Il posa ses yeux sur la femme ne dévoilant aucune emotion qu'avait pu lui transmettre la lettre.
— Que dois-je faire pour être libre de vous ? articula-t-il.
— Faites comprendre à ce cher inspecteur Jeon que vous devez subir votre peine, après tout, vous ne saviez rien, ordonna-t-elle.
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Une invitation pour assister à une représentation du ballet Giselle se retrouva entre les mains de l'inspecteur Jeon. L'émetteur de cette invitation n'était autre que Kim Taehyung lui-même, bien que l'écriture du message ne fût qu'une pâle imitation de la sienne. Cependant, cela n'atténuait en rien l'importance de la mission qui lui était confiée : il devait se rendre à cet événement sans faute. Cette soirée représentait une opportunité cruciale pour intercepter Kim Taehyung avant que ses supérieurs ne se rendissent compte de sa disparition.
Il se changea rapidement pour enfiler un costume convenable pour ce genre de spectacle avant de s'y rendre. En pénétrant dans la salle, il constata qu'elle était plongée dans l'obscurité totale, seules les lumières éclairant la scène. Il s'installa rapidement, ne prêtant guère attention aux personnes autour de lui.
Le rideau s'éleva avec une lenteur délibérée, révélant un tableau pittoresque qui enveloppa instantanément le public dans le charme bucolique d'une vie villageoise. La musique d'Adolphe Adam, orchestrée avec une subtilité exquise, émanait comme une brise douce à travers les champs verdoyants, capturant l'essence même de la vie rustique. Les notes mélodieuses, telles des feuilles caressées par le vent, suscitèrent une atmosphère de sérénité, évoquant la simplicité et la beauté de la nature.
