Chapitre 37

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عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah

Moi: non plus sérieusement, t'es blessée ? Dis-je en retrouvant mon calme.

Salima*fatiguée*: non.... Ça va.... Je crois.

Moi*souffle*: c'est qui ces salauds merde ?

Salima: y'a moyen ce sont ceux qui nous ont attaqués la dernière fois, à la villa.

Moi: possible, j'avertirais Jibril quand nous rentrerons à la villa.

Elle se remet enfin correctement sur son siège et tiens sa tête avec sa main, et c'est pas normal .

Moi: t'es toute pâle .

Salima: je sais j'ai pas besoin d'un miroir pour le voir.

Aimable...

Attendez pouce, comment elle peut savoir qu'elle est pâle alors ?

Moi: comment ça t-

Salima: faut changer de voiture avant le prochain radar.

Moi: je fait comment moi?

Salima: ton volant, ta merde.

Toujours aussi aimable...

Mais je découvrirais qui elle est, je sais pas, j'ai l'impression qu'à elle seule elle est un secret.

Un secret, qui peut coûter la vie...




















J'avais réussi à changer de voiture et à cacher l'ancienne, on a tous simplement voler une voiture d'un vieux couple.

Point de vue de Salima

Rectification: il a voler une voiture, moi j'ai juste suivis d'accord ?

On arrive dans la résidence et Sofiane gare la voiture dans le parking, l'air serein, mais ce n'étais pas mon cas, pas du tout.

Je dois avouer que mon séjour chez lui m'as fait du bien, car je n'avais pas de pression et Jibril entre les pattes.

Et j'avais des étourdissements dû à ce que venait de se passer.

Sofiane descend de la voiture en premier et je le suis, d'un pas lent et lourd. Qui montre mon enthousiasme face à ce retour... qui n'a rien d'enchantant.

On rentre et plusieurs gars sont affalés sur les canapés de cuir et me regarde stupéfaits, mais je les regarde avec un regard des plus noir, pour leur faire comprendre que je ne suis pas une proie, et que je suis bel et bien vivante .

Certains d'entre eux sont en train de tirer des taff de leurs joints, d'autres disposent de la poudre sur la table, d'autres jouent avec leurs armes, ou séparent la poudre avec leurs Cartes Bancaires, et d'autre sont occupés avec des filles sur leurs genoux, qui dandinent dans tous les sens leurs derrières de cheval, comme des agitées.

En plus leurs manières de rigoler ...

N'en parlons pas...

Perdue dans cette dunyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant