Chapitre 42

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عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah



































Je constate qu'il fait noir, alors je cherche un interrupteur pour allumer une quelconque lumière ; après avoir trouvé un bouton et allumer la lumière, je constate que je ne suis pas seule.

En face de moi se tient Imrân, qui avait beaucoup changé depuis physiquement.

Et je pense que son mental aussi vu les expressions faciales qu'il emploie à chaque fois.

Imrân*les sourcils froncés* : c'est quoi tous ce boucan ?

Moi : j'ai pas les clés ; lançais-je sèchement avant de le contourner.

Je me dirige alors vers une table où plusieurs armes à feu sont disposées et réfléchis à laquelle je vais prendre pour m'entraîner.

Cet entrepôt sert à s'entraîner avec les armes à feu, ça attire moins l'œil. Mais je me rappelle que je ne suis pas équipée, alors je me dirige vers un espèce de vestiaire et cherche un casque anti bruit à ma taille, pour ensuite choisir l'arme que je vais choisir.

Je vais prendre une petite, un glock 29 Gen4.

Un standard.

Je me dirige vers la zone de tir, met le casque, charge l'arme, inspire un bon coup, et m'apprête à me positionner.

Je me positionne en essayant de me mettre la plus à l'aise possible.

Mais je sent un regard sur moi, mais ce n'est pas grave il faut juste que j'arrive à me concentrer comme il faut.

Je vise, puis commence à tirer, à intervalle de temps régulier mais de manière rapide.

Le bruit se fait quand même entendre malgré le casque porté, et les cartouches se vident sous mes yeux, ce qui crée un bazars sans nom.

Je tire encore et toujours jusqu'à ce que mon arme ne possède plus de munitions.

C'est alors que je baisse mon arme, enlève mon casque en tournant la tête pour regarder Imrân, qui lui regardait la cible.

Je pose l'arme et le casque et appuie sur le bouton à côté de moi pour que la cible s'avance vers moi pour que je puisse regarder mes performances. Et aussi pour changer la feuille de tir par la suite.

En attendant que les espèces de rails amènent la feuille, je nettoie l'arme et m'en vais la ranger là où elle était et nettoie vite fait le par terre inondé de munitions.

Une fois la feuille de tir devant moi, je l'analyse de haut et bas :

Mes performances me montrent que je ne me suis pas entraînée depuis longtemps...

Soyons honnêtes.

Je retire la feuille violemment d'un seul trait, m'en débarrasse et la change.

Je m'en vais chercher une autre arme, plus précise mais plus lourde et recommence le processus.

Je me positionne, respire un bon coup, et commence à tirer, en prenant cette fois-ci mon temps.

Perdue dans cette dunyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant