𝖁𝖎𝖛𝖗𝖊 𝖔𝖚 𝕸𝖔𝖚𝖗𝖎𝖗 ( Darkromance )

2-L'arriver du diable

Coucou mes stars! Nouveau chapitre avec l'arrivé du diable !😈

Je tiens à préciser que j'ai modifier ma manière de présenter les dialogues, dites moi si vous préférer comme ça ou avant!

Bonne rencontre avec le roi des enfers,

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Bonne lecture 📖

                                                             _Kiss Anita33j_

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                                                         ***

Sara :

2 jours que l'on m'avait annoncé ma prochaine mission.

3 heures que je tournais en rond dans ma chambre et n'arrivais pas à dormir tout en sachant que dans quelques heures il serait là à l'étage des garçons, en dessous de ma chambre. Lui l'homme que je haïssais du plus profond de mon cœur, celui qui m'avait mener la vie dure lorsque j'avais commencer mes combats, lui qui m'avais humilié, frappé, apeuré au début et qui me narguait alors que je n'avais rien à lui envier mise à part son putain d'égo.

ça pour en avoir un il en avait un

Avait-il changé depuis la saison dernière ?

Avait-il vraiment tout oublié ou faisait-il semblant ?

Pourquoi diable était-ce tomber sur moi, sa pire ennemie ?

Comment allais je le supporter plusieurs heures d'affilée et ceux au quotidien ?

Des centaines et centaines de questions sans réponses défilaient dans mon esprit m'empêchant de fermer les yeux. J'en voulais quelque part à Fernando de me faire cela alors que je ne le méritais pas. Je ne savais pas du tout comment réagir. Fallait-il que je me réjouisse du fait que j'étais officiellement meilleure que lui puisqu'il ne savait plus rien ou devrais-je m'apitoyer sur mon sort ?

Aucune idée...

Je décidai de me rafraîchir les idées en allant sur le balcon de ma chambre et admirer l'incroyable vue dont je ne me lasserai jamais. Notre villa était à l'écart de la ville, elle la surplombait . L'éclairage de nuit et le bruit lointain de la circulation me replongeaient dans de vieux souvenirs. La rue, j'y avais passé tellement de nuits, le bruit je m'y étais habituée, attachée et vivre au jour le jour me manquait parfois. Je ne pouvais pas me plaindre de ma vie actuelle, c'était ce dont j'avais rêvé tous les soirs lors de ces nuits compliquées : avoir une vie stable, un travail et pouvoir me nourrir correctement.

J'avais aujourd'hui bien plus que cela et pourtant je ne me croyais pas heureuse.

La réalité était que je l'avais pensé mais au fur et à mesure des années passées ici je m'étais rendu compte que malgré la bonne image que je renvoyais je ne l'étais pas. Je ne l'avais jamais été depuis la mort de ma famille et je doutais que cela reviendrait.

Le mot " heureux" était bien trop extravagant et difficile d'accès pour une fille comme moi. J' avais conscience d'être brisée. Pourtant même après cette triste vérité je ne pouvais pas cesser de vivre, il le fallait, je l'avais promis à ma famille.