Chapitre 5 : Une vie paisible

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Aujourd'hui je décide d'apprendre à supporter un poid sur mon cheval. Un jour, nous galoperons tous les deux a travers les montagnes. Nous sentirons l'air frais nous chatouiller le visage et resterons immortels dans le cœur de l'un et de l'autre. Mais avant tout il faut apprendre à me faire confiance. Je ne veut l'obliger en rien, si il ne veut pas, je ne ferais rien. D'ailleurs. J'ai déjà réfléchis à des idées de noms, mais je n'ai pas encore eu ce coup de cœur..

Le cheval broutais tranquillement et me regarde venir vers lui. Il a l'air d'être amusé. Je crois qu'il veut jouer. Je lâche alors mon nouveau licol et cours vers lui. Il n'a pas peur redresse les oreilles et cour à son tour. Il me poursuit comme deux gamins qui joue au loup. Ce sont des moments très important dans le dressage d'un cheval, surtout si on veut de bon résultat et une complicité. 20 minutes après, Eliza arrive.
" Hey ! Eliza ! Crai-je
- Mackenzie ! Ça va ? Me répond elle.
- Ça va, ça va. Dis, toujours aussi pervers ?
- heu... "
Eliza est une ami d'enfance, nous rions beaucoup et elle est très pervers ! C'est vrai qu'elle a des idées très mal reçues, ce qui rend la vie vraiment drôles. Et c'est vrai que sans elle je serai moin heureuse. Tous mes amis sont des pilliers important, ils ont chacun leurs personnalités, ce qui fait qu'ils sont unique.
Eliza et moi nous baladons un peu sur un sentier non loin d'ici, elle me raconte qu'elle a rencontrer un garçon. Elle a craquer pour un Kenzo. On dirait un Dieu ! Dit elle. Je ne peut m'empêcher de rire.
Ça fais bizarre que je suis la dernière toujours célibataire ! Mais je ne m'en plains pas...
" Dring Dring " je doit avoir du réseau ici car j'ai un message. C'est Kevin..
" Salut !
- Salut
- Ça va ? 😏
- Oui et toi ? ^^
- Ouais, tranquille... Ça te dit que demain on passe L'aprèm ensemble ? "
Eliza m'arrache alors le téléphone des mains.
" C'est qui ça ? " me demande t elle. Je lui jette un regard amusée
" Un admirateur secret, c'est Kenzo vois-tu ! "
J'explose alors de rire, on aime ce taquiner. J'echangerais nos moment pour rien au monde...
Je vais vous éviter un passage de ce Eliza me dit, je suis habituer mais vous serez vraiment choquer !
Je reprit mon téléphone et accepte son invitation avec joie. Sur le chemin du retour c'est le téléphone d'Eliza qui vibra.
" Allo ? " Elle me fait signe qu'elle s'écarte un peu pour parler, je ne bouge pas et attend patiemment ici.
Quelques secondes plus tard elle m'annonce qu'elle doit rentrer, je comprend et la quitte pour rentrer chez moi.

Je décide donc de reprendre le travail, je reprend le licol que j'ai lâcher et l'appel. Il s'approche de moi et baisse sa tête. Il comprit que je vais lui mettre l'objet en question. Nous marchons ensemble près d'une barrière afin que je l'attache. Je sort mon nécessaire de pansage et commence.
Je passe l'etrille, le bouchon, la brosse douce. Je soulève un par un ses pied et les cure. Puis m'occupe de sa crinière qui n'a jamais étais soigner.
1 heure de dure nettoyage, je me met au boulot, en première partie je le fais accepter la bride western. Je lui présente le mors avec une sucrerie. Il l'accepte et le met au dessus de sa langue. Puis je passe la têtière par derrière les oreilles. Il fait un pas en arrière. L'idée d'être attacher doit pas le rassurer. Je décide donc de passer à la selle. Je lui présente un tapis puis le met sur son dos. Il a alors une réaction assez époustouflante, il la prend par la bouche et le retire. Puis le jette à terre. Je me dis qu'il faut le faire chaque jour. S'il n'aime pas, il n'en auras pas. C'est simple. Ce n'est pas un esclaves, mais mon coéquipier. Je doit être un centaure pas un homme sur un cheval. Ça change tout. Les choses sont différentes. Je décide alors de le libérer dans la paddock.
" Aller mon beau, défoule toi. Tu as bien travailler aujourd'hui.. " lui chuchotais-je à l'oreille.

Après avoir tout ranger, je retire mes bottines pleines de crotins. De mon tiroirs, je sort un paquets de feuilles et un stylos. Il est temps de lui trouver un nom !
Après des heures de gribouillages, j'abandonne.
Papa m'appel afin de prendre le dîner. Aujourd'hui c'est Pâte à la bolognaise. J'entame les 3/4 de mon assiette puis je n'ai plus d'appétit. Je ne l'ai pas regarder une seule fois dans les yeux. Il m'inspire la pitié..

Le lendemain je retrouve Kevin au pied de la montagne. Quand j'arrive, il s'avance vers moi et me fais la bise.
" On passe par là ? " me demande t il .
J'acquiesse et le suit. Nous discutons de tout et en même temps de rien. Il a lui aussi perdu sa mère... Il sort des vannes vraiment débile mais qui me font bêtement rire. A plusieurs reprise il effleure ma main sans le vouloir, je rougit aussitôt. C'est bizarre ce qui m'arrive.. J'ai l'impression de revivre ma rencontre avec mon cheval. Au bout de 4 heures de discutions, nous nous disons au revoir.
" - Bon bah je te laisse... Me dit il d'une voix timide
- On se reverra ! Tu as mon numéro. Je ne répondrais juste pas forcément tout de suite vu que j'ai pas de réseau.
- Ouais d'accord ! En tout cas t'es vraiment sympa ! Je sent qu'on vas vite devenir amis ! Il me sourit en même temps j'ai cru m'effondrer son sourire est très charmeur...
- Heu... Je.. Ouais ! "
Sur ceux, après une petite hésitation il me fit à nouveau la bise. Je suis sur que je suis toute rouge !

Quand je rentre à la maison, papa tente de me parler je l'ignore et fonce dans la chambre. Décidément tout vas presque une vie... Ce serai presque une vie paisible !

Liberty & LibertéWhere stories live. Discover now