Chapitre 18 : Je te deteste.

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Kévin en média ~

Il est 9:00 du matin lorsque je me réveille par un cris.
Je sursaute hors de mon lit et me penche vers la fenêtre.
C'est le drame, mon cœur bat vraiment vite. J'ouvre la porte sans réfléchir à mon acte et descend les marches aussi vite que je le peut.
Devant ma porte, une scène effrayante.
J'hurle sur ces cinq grands hommes qui tienne Kévin et le frappe. Ils m'effraient mais je ne peut le laisser comme ça !
L'un d'entre eux me regarde, il parle avec un accent que je ne connais pas.
" C'est qui celle-là ? "
Kevin écarquille les yeux et cri :
" Laissez-là ! Elle n'as rien avoir ! "
J'accours vers lui et tente de pousser les deux grands hommes de chaque côté. Ma force doit être que de chatouille à côté de la leur.
Je tiens la tête de Kevin dans mes mains et le bombarde de questions.
Un d'entre eux, m'attrape par les cheveux et me jette plus loin.
Kevin gémit et leur ordonne de me laisser. Les hommes lâche leur victime et le menace:
" T'inquiète pas, tu vas le payer quand elle ne sera pas là ! Connard ! "
Surprise je me jette vers lui.
Ils s'en vont vers un 4X4 noir. Je leur lance un regard noir et aide Kévin à se relever.
Nous marchons tout les deux, moi pied nus, à l'intérieur.
Je m'assois sur le canapé et cours chercher une compresse, je la tapote sur la majeur partie de ses blessures.
J'essuie le sang qui défigure son visage.
" Quels cretins ceux-là ! Fais attention maintenant mon cœur ! Murmurai-je
- Désoler .. Tente-il d'articuler.
- Désoler de quoi ? Tu m'expliquera tout à l'heure ! Tu m'as fais peur, et ces débiles ne vont plus te faire mal, car on vas appeler la police. "
Je sens. Les larmes remonter au plus profond de moi.
Je pleure finalement.. Kevin essuie mes joues et me laisse une trace de sang.
" Tu ne comprend pas, on ne peut pas les dénoncer. Je t'aime, mais ne te mêle pas de ça. "
Je l'embrasse tendrement sans attendre d'explication. Mais je compte bien en avoir par la suite.

La journée à super bien commencer ! Je me prépare un café au lait et un bol de corn flakes.
Kevin s'installe face à moi et avale difficilement son gâteau.
Je le regarde fixement, en ignorant les questions qui trotte dans ma tête.
La mâtiné passera assez vite, nous ne nous sommes pas adresser la paroles. Le cœur serrer, je vais dire bonjour à Liberty mais ne l'entraîne pas. C'est un jour "congé" pour lui.
Je lui offre une pomme accompagné d'une carotte et le libère dans le paddock.
Je ne sait comment réagir..
C'est pourquoi je doit lui demander ce qu'il se passe.
J'etteind la télé tandis qu'il l'as regarde. Je m'interpose entre lui e l'objet et me baisse à son niveau.
Il me regarde, avidé.
" - J ne peut continuer comme ça si je ne sait qui sont ces hommes ..
- Si je te le dit, tu vas être entraîner.. Je ne veut pas qu'il t'arrive quelque chose.
- Maintenant on est ensemble ! Ta vie est aussi la mienne ! "
Il racle sa gorge et m'explique,
" - Je.. J'étais avec une fille avant toi. "
Je le regarde intensément en attendant plus d'explication.
" - Cette fille, étais, sans que je le sache, dans une famille de << Mafia >> ou je ne sait quoi .. Elle m'as demander de l'argent où je devrais .. Mourir.. Je n'ai malheureusement pas assez.. "
Les larmes ressortent et je me lève brusquement. Je resserre mes mains sur mes cheveux et fais les 400 pas.
" Et elle t'as demander combien ? " dis-je d'une voix tremblante.
" Dans les alentours de .. 550 mille ? "
Je lâche un juron sur le coup.
Il se lève à son tour et viens vers moi. 
Il pose ses mains sur ma taille mais je le repousse.
Il a l'air surpris et bléssé. Je ne cesse de pleurer en pensant que je pourrais le perdre. Il n'as cas retourner avec cette ..
Je crispe la mâchoire et resserre les poings.  Je n'ai qu'une envie, la voir et l'étrangler !

Liberty & LibertéWhere stories live. Discover now