Chapitre 2

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Chapitre 2

Je me mit à le fixer de mes yeux rouge, un garçon plutôt grand de taille, le cheveux blond presque châtain avec des yeux magnifiquement coloré d'une couleur émeraude. Je n'étais jamais sortis mais je savais reconnaître un beau garçon, il était juste magnifique! J'exprime ce sentiment pour la première fois, d'habitude je ne suis que haine et puissance mais là je commence à ressentir autre chose.

A la sortie du cour, le proviseur veut organiser une cérémonie d'accueil pour moi, j'accepte à contre cœur, je ne suis pas là pour le spectacle! A midi, tous les élèves se réunirent dans le hall, quand j'arrive tous le monde s'écartèrent, le proviseur commença:

" Chers élèves, nous accueillons à présent Dieda, la fille de la Mort, je veut que vous la respecter entièrement, si vous avez peur, ne vous inquiéter pas, elle ne fera rien.

Il me regarda avec un regard de prudence, je le dévisagea et lui dit:

- Qui vous dit que je ne ferais rien?

Ma voix avait glacial, ce qui le figea. Je m'approcha et le poussa pour parler.

- Bien, je vais rectifier ce que votre proviseur à dit, je crois qu'il n'a pas bien compris. Je ressens votre peur à tous. Quand quel qu'un à peur de moi, se moque ou autre chose pouvant me dégoutter, je le tus. Ma magie est plein plus puissance que celle de mon père, je n'est pas son caractère, je suis plus dur que tout le monde alors ne croyez pas une seconde que j'hésiterais.

J'entendis une voix parler, mon ouïe était très fine, j'entendis à la perfection, un garçon était en trin de parler, hors cela ne me plut pas, je hurla:

- Toi! D'où me traite tu de folle?!

Tout le monde vit ou je regardais et les regard se dirigèrent vers lui. Voyant qu'ont le regardais, il s'avança vers moi:

- La mort n'est même pas un dirigeant et il a eut une fille comme toi avec...un truc, je ne sais pas quoi, toi même tu as hérité de la violence de ton père. Donc oui je te tiens tête et oui je te définis de folle. Je peut faire ce que je veut, tu ne tueras personne.

Calmement mais énervé à l'intérieur, je lui dit:

- Tu crois ça, petit humain? Pourquoi définis tu ma mère par le mot truc, je suis loin d'être folle, tu sais si je voulais, je pourrais tuer tout les humains de cette putain de planète en un geste. Tu veut une preuve?

- Oui, vas y.

Je n'hésita pas, je claqua des doigt, une fumée noir s'en élevas. Le garçon commença à trembler, à tousser, puis se bloqua, du sang sortis de sa bouche et tombas par terre.

- Vous voyer, je n'hésiterais pas, je sais que ces parents ne porterons pas plainte sous peine de se faire tuer, donc dites ce que vous voulez, je suis décréter à l'avance innocente, au passage, je lui est éclaté le cœur, aucune chance de le ramener.

Je pris mon sac et partis en direction de chez moi. Pendant que des masses d'élèves se dirigeait vers le garçon.

Moi, fille de la mort. Lui, humain. (Terminé! En correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant