Chapitre 10

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Chapitre 10

Je me réveilla, j'étais couché sur un lit. Je me leva et regarda autour de moi, ce n'était pas ma chambre, celle ci était sombre et obscur, les  mûrs étaient noirs comme le sol et le plafond était couleur nuit. Quel que chose m'interpella, le miroir, je m'approcha et le toucha, il avait une fissure, une parole de mon rêve me revint: Le miroir révéleras. Je me regarda dedans, mes cheveux noirs étaient emmêlées, mes yeux rouge semblaient saignés.

Je me sentais bizarre, presque nostalgique. Soudain la porte sombre s'ouvrir, un homme entra, il avait les cheveux châtains et les yeux rouge, rouge? Pourquoi, seule ma famille les à et je connais parfaitement ma famille. Je regarda mieux, je soupira, des lentilles, ce n'étaient pas les yeux rouge sang que nous avions nous.

- Suis moi. il me dit.

- Pourquoi, je suis ou là?

- Pose pas de questions et viens.

Trop fatigué pour riposter, je le suivit dans le couloir aussi sombre que la nuit, je l'observa, grand, bien sculpté, il était habillé d'un pantalon noir, d'une chemise bleu nuit et d'un veste en cuir noir. A sa ceinture, un poignard était attaché. Je regarda par la fenêtre qui se trouvais là, il fessait nuit, pourtant, ont était le matin quand je me suis évanouit. L'homme me tira de mes pensées:

- Voilà, bonne chance.

Il me fit entrer dans une pièce et partit, pourquoi bonne chance? Je regarda devant moi, la pièce était sombre, le plafond était ovale et creux en verre, des collines noirs était un peu partout, le carrelage noir avait des bordures blanche. Enfin du clair! Une table en marbre noir était au milieu de la grande salle. Soudain, en observant, je vit, une ombre noir sur le coté d'une colonne, elle me regarda, ses yeux était d'un rouge pur et de sang, qui es-ce? L'ombre prit la parole, à sa voix je devina qu'il s'agissait d'une femme:

- Les morts réveiller

La nuit s'ouvrira

Seul les familles entrerons

Les vies de sang et de mort

Madame la Lune

Madame la nuit

Le monde s'ouvre à elle

Quel jugement lui procurer vous?

Quel promit lui donner vous?

Mérite t-elle tout ça?

Non, c'est évident

Fille de la mort

Mort est égal à mort

Fille destiné à être morte.

Je souris en reconnaissant la voix et le texte.

Je dit:

- Mélodie, sort d'ici.

Ma jeune cousine sortit de sa cachette, ses cheveux brun reflétèrent d'un seul coup surplombée par son corps d'une fille de 15 ans. Elle me sauta dans les bras.

- Dieda!

Moi, fille de la mort. Lui, humain. (Terminé! En correction)Where stories live. Discover now