Chapitre 12

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Chapitre 12

- Ma mère est morte. lui fit-je.

- Ça c'est ce que tout le monde crois.

- Le miroir révéleras...

- Quoi, le miroir?

Elle me regardait d'un air interrogateur, elle était trop mignonne, puis je lui dit:

- Un miroir, vite!

Elle frissonna et me montra un miroir au fond de la pièce, j'accourus, regarda mon reflet à l'intérieur. Je me mit à réfléchir, mon cerveau avait complètement enregistré le poème du rêve, et si je le récitais autrement? Je prit une inspiration et en ne quittant pas mes propres yeux du miroir, je récita:

- Souvenirs passés

Souvenirs oubliés

Que chaque parcelles de cette vie.

Soit remise, et révéler

La mort paye

La tombe veille

Le monde perd

Mort à l'oublie

Amour destiné

Envie et désir

Souvenir effaces

Le miroir révélera

Ce secret de sang.

Une fois finit, je me recula du miroir sans me lâcher du regard, en prenant soin de ne pas percuter ma cousine qui m'avait rejoint d'un air inquiet.

Mon reflet disparus et une image flou apparut. Mon rêve réapparut, je compris qu'il s'agissait de mon père et de ma mère pile à la fin. Mon reflet revint et se flou de nouveau, je voyais une tombe sur laquelle on pouvais lire « R.I.P Milia», des hommes arrivèrent autour, je les observait, ils avaient tous des yeux rouge mais on pouvais voir que ce n'était que des lentilles, seulement, ils avaient tous leur main illuminé de magie poser sur la tombe.

Ils reculèrent et la tombe s'ouvrit, ma mère sortit en trombe, ses yeux était injecter de sang, elle respirais la bouche grande ouverte, si bien que j'aurais juré avoir vu des crocs.

Deux hommes la rattrape et lui bloque les bras dans le dos, elle ne fit rien et se laissa guider dans un bâtiment, ils l'attachèrent sur une chaise, ma mère rugit:

- Lâchez moi, vous savez qui je suis?!

- Parfaitement, Malia, laissez moi vous dire que le suicide n'est pas la solution pour mettre fin à vos jours. fit un.

- Je m'en fout, libérez moi que je puisse retourner auprès de ma fille et mon mari!

- Votre mari? Vous me faites rire, il a vider sa mémoire de cet événement.

- Non, ce n'est passible, et ma fille?

- Ne vous inquiéter pas, pour l'instant nous,n'allons pas la toucher.

- Vous êtes le Raîs?

- Hé bien, ils vous en aura fallut du temps.

Il prit le menton de ma mère et repris:

- Énerve toi, c'est un ordre.

- Pourquoi? Je n'est d'ordre à recevoir.

- Tu vas m'ouvrir la nuit tout de suite.

- Pas de tutoiement avec moi, compris?!

Il la lâche et soupira, il serra le poing, ma mère se mit soudain à tousser les yeux écarquillé, du sang tacha le sol. Elle haleta plusieurs fois et sauta sur les hommes les crocs en avant.

Le reste n'était pas beau à voir, seul le meneur s'en sortit avec un sourire diabolique sur les lèvres.

Moi, fille de la mort. Lui, humain. (Terminé! En correction)Where stories live. Discover now