Moi, fille de la mort. Lui, humain. (Terminé! En correction)

Chapitre 3

Chapitre 3

Je partage beaucoup de choses avec mon père même avant, enfermée. Je lui raconta ma journée, il n'était pas surpris, pour lui quand je fait 1 mort ce n'est pas très grave c'est s'il y en a 150 que ça devient plus grave.

Le lendemain, tout le lycée me regardait le regard remplit de peur, je me retint bien sur. Toute cette peur c'est répugnant, seulement, je n'avais pas l'habitude qu'on n'est pas peur de moi. Le garçon d'hier me regardais toujours en souriant, j'ai appris qu'il s'appelle Ray Anders. En arrivant en cour, le prof ne me regarda même pas même si j'avais fait exprès d'arriver en retard. Il avait encore plus peur qu'hier. Je m'installa et remarqua encore le regard souriant de Ray qui m'envoya un bout de papier. Dessus, il y avait écrit: « Quel est ton souhait? Pourquoi tu est ici?» Il était aussi sérieux en son écriture et en son regard. Je lui répondit: « Mon père m'a obligé de venir et toi, pourquoi tu n'a pas peur de moi?».

Il souris en lisant et répondit: «Je n'est pas a avoir peur d'une fille comme toi»

«Que veux t-u dire par fille comme moi?»

« Tu est belle, forte, courageuse, dangereuse mais tu as un grand cœur.»

« Non, je suis tout ce que qu'elle qu'un ne voudrait pas.»

« C'est faux, rejoins moi devant le lycée après les cours.»

«Ok»

Les mots se terminèrent là, le midi, j'en parla à mon père. Il me dit:

" Une personne n'ayant pas peur de nous est très rare, profite, cela ne seras pas toujours comme ça.

- Il veut que je le rejoigne après les cours.

- Fait attention quand même.

- Pourquoi?

- Normalement si tu touche les lèvres d'une autres personne, il meure, désintégrer.

- Qui t'a dit qu'ont allaient s'embrasser?

- Mon intuition.

Je lui fit mon plus beau regard de travers, mais un truc clochait:

- Mais, comment à tu fait avec maman alors?

Il planta ses yeux dans les miens, il n'aimait pas quand je sortais le sujet de ma mère, elle avait disparut à mes 5 ans, personne ne sais ou elle est.

- Ta mère n'était pas complètement humaine.

- Elle était quoi d'autre?

- Vampire.

- Un peu comme toi.

- C'est différent, bon retourne aux lycée maintenant.

J'obéis et partis, l'après-midi passé, je rejoignit Ray qui était adossé contre le mur extérieur.

- Salut Dieda. me lança t-il.

C'était la première fois qu'on m'adressai la parole comme ça, je ne put m'empêcher de sourire. Bizarrement je me sentais différente en sa présence, plus saine, plus pure.

Soudain, il sortit un poignard et me plaqua contre le mur avec le couteau sur la gorge. Il me dit:

- Qu'a tu ressentis quand tu as vue le poignard, de la trahison? De la peur? De la haine?

Ha il voulait jouer à ça, ok, ont allait jouer.

- Je n'est rien ressentis, je n'est peur de rien, quel qu'un qui voudrait me tuer n'aurais pas hésiter à enfoncer le poignard, les gens ayant aucune peur de moi, sont rare.

- A bon? Sinon oui bon raisonnement.

- Qui est tu?

- Ba Ray Anders.

- Non, l'autre Ray.

- Tu veut le voir?

- Oui.

- Très bien.

Il rangeât le poignard et m'embrassa.