Chapitre 13

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Chapitre 13

Le miroir revint à son origine, Mélodie me regarda et demanda:

- Le Raîs?

- Tu sais ce que c'est?

- Aucune idée, ça doit être ancien, sinon on connaîtrais.

Je me tue et demanda:

- Tu sais ce que signifie ouvrir la nuit?

- Non mais il y cette même phrase dans mon poème.

Le poème de ma cousine était un peu comme sa marque de fabrique, un jour elle est tombé dessus dans un vieux livre et le récite tout le temps. Je lui demanda de le réciter elle s'exécuta:

- Les morts réveiller

La nuit s'ouvrira

Seul les familles entrerons

Les vies de sang et de mort

Madame la Lune

Madame la nuit

Le monde s'ouvre à elle

Quel jugement lui procurer vous?

Quel promit lui donner vous?

Mérite t-elle tout ça?

Non, c'est évident

Fille de la mort

Mort est égal à mort

Fille destiné à être morte.

- De qui est-ce?

- Edward Bert, un auteur d'il y a 700 ans, apparemment il a disparu sans laisser de trace, il connaissait très bien notre famille.

- Tu crois qu'il parle de qui? demandait-je.

- De toi.

- Hein, pourquoi?

- Réfléchie, la fille de la mort, c'est toi. Seul notre famille entrera quel que part quand la nuit se seras ouverte. Ensuite, la Nuit et la Lune te doivent un jugement et tu est destinée à mourir si on en crois le poème.

- Encore faut-il qu'il soit vrai.

- Moi, je le prend comme une prophétie, et puis il parle de ton promit.

- Ray...chuchotai-je.

Je regarda la nuit, le Raîs veut ouvrir la nuit mais que signifie ses deux choses? Je fut interrompis par la porte de la salle qui s'ouvrir sur l'homme qui m'avait amené ici.

- Venez vous deux. Fit-il.

Nous le suivîmes jusqu'à une pièce beaucoup plus petite ou un homme attendais dos à nous. La porte se ferma derrière nous et l'homme se retourna, je me figea, c'était celui qui avait menacé ma mère dans le miroir. J'entendis également Mélodie grogner, l'homme nous regarda et rigolât:

- Bien bien, apparemment pas besoin de faire les présentations, je vais juste dire mon nom, Marks Bert.

Bert? L'auteur du poème?

- Non, Dieda, je suis son petit-fils. me fit-il. Même si je connais toutes les prophéties de mon grand-père,je fait tous pour les réaliser. Je sais tous ce qu'elles représentent en particulier ta préférée, Mélodie.

- Je ne vous ferais pas confiance. dit ma cousine.

- Mais ma chère, tu vas être obligé car on ne peut pas échapper un promit même si ce n'est pas le siens.

Moi, fille de la mort. Lui, humain. (Terminé! En correction)Where stories live. Discover now