HITMAN

chapitre 4

Dire que Mai avait peur était un bien petit mot, non elle n'avait pas peur elle était terrorisé. Aucun homme ne l'avais jamais touché, ou même regardé de la sorte. Et elle était loin de s'imaginer que le première homme à la voir d'une telle manière, serait un vieux proxénète pervers. Et le faite qu'elle porte une tenu aussi légère et aguicheuse n'arrangeait rien. Mike c'était levé de son bureau et approchait Mai telle un prédateurs prêt à bondir sur sa proie.  Ses pas était long et son regard perçant devisageait le Corps de la jeune fille, plus il avançait vers elle, plus elle reculait. Mais il n'y avait point d'échappatoire, le mûr qui faisait office de blocage derrière elle fut le premier à arrêter ses pas. La tension montait et le silence qui régnait était loin d'être plaisant, on entendait que le bruit des bottes de Mike sur le parquet et la respiration  lourde et remplie d'angoisse de Mai. Il se trouvait maintenant à quelques centimètres d'elle, elle pouvait sentir l'odeur de l'alcool et de la cigarette qui émanait du Corp de cet homme. Une odeur peu plaisante qui lui fit tourner la tête sur le côté et fit naître une grimace sur le visage de la jeune fille.  Cela fit rire Mike, il caressa son visage hypnotisé par sa beauté.

- tu es si belle... Sa main descendaient plus bas touchant les épaules de Mai. Si pure... il descendait de plus en plus bas jusqu'à atteindre ses hanches.

Le regard de Mai était toujours aussi fuyant, se faire toucher par cette homme la dégoûtait au plus haut point. D'un geste brusque il attrapa l'ourlet de sa nuisette, ce qui fit sursauter la jeune fille. Ses pires craintes se matérialisant dans son esprit, elle avait peur et les larmes qui commençait à coulé sur ses joues témoignaient de son angoisse grandissante.

- ne pleure pas ma chérie, se serait dommage de voir un si jolie visage déformé par les pleurs. Lui dit il en essuyant une larme qui menaçait de couler.

Elle ferma ses yeux de toute ses forces, elle pouvait sentir son visage se rapprocher. Son souffle touchait son coup.  Elle n'avait qu'une seule envie à cet instant, être n'importe où sauf ici.

                 
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Sur le parking du club, Damon regardait l'entrée. Un videur s'y
Trouvait, des hommes rentraient et d'autres sortait complètement bourré le sourire jusqu'au oreilles.  Cela faisait sourire Damon tous ces hommes venant chercher du réconfort auprès de prostitué , certains d'entre eux ont des familles et des femmes qui se disent que "trop de boulot" les empêche de rentrer à la maison. Et d'autres qui sont tous simplement dépasser par la vie et qui ne pense qu'à se bourré la gueule jusqu'à en crever d'un cancer du poumon. Mais c'était encore plus ironique pour Damon car il n'appartenait à aucune de ces catégories. Et il barrait la pire de toute, celle de la petite famille son souci un père ,une mère et des enfants. Non ce n'était pas pour lui, sa vie lui convenait bien être seul et solitaire. C'était plus facile d'être seul... c'était mieux de n'avoir rien à perdre...

Mais ce n'était pas le moment de penser, la concentration était la clef d'un travail bien fait. Il prit sur sa banquette arrière un sac de sport, à l'intérieur se trouvait de quoi cambriolé les banques d'une bonne  partie de la ville. Damon s'empara d'un pistolet, qu'il mit à l'arrière de son jean, toujours être le plus discret possible. Il prit sa veste en cuir et sortie de sa voiture. La démarche assuré il avançait vers l'entrée, il fit un signe au videur de la tête et entra à l'intérieur.

La chaleur était écrasante et l'odeur du tabac pesante. La pièce était tamisée et des néon de couleur différente se baladait dans le club. Il y avait des tables aligner un peu partout et au centre se tenait un podium avec un barre ou une danseuse s'activait à faire étalage de son talent. Des femmes il y en avait partout, leurs tenues légère et leurs corps voluptueux avait de quoi rendre fou tout homme. Damon n'était pas une exception à la règle, il regardait  les corps de ces dames se pavaner devant lui. Mais il n'avait pas le temps de prendre du plaisir, et la fille qui s'avançait vers lui était loin de lui faciliter la tâche. Elle portait une lingeries en dentelle et des cuissardes vertigineux. Elle se posta derrière lui, en lui caressant les épaules.