Partie 14

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Nous avons continué le souper en placotant et en se rappelant les souvenirs d'un passé déjà lointain. J'apprécie grandement la simplicité de discuter avec lui. Jamais je ne me sens jugé ou rabaissé.

Rapportant les restes dans la cuisine, la tension sexuelle qui se propagea entre nous deux remonta en flèche. Caressant mes épaules de ses mains expertes, sa bouche se promena d'un coté à l'autre de mon cou en le mordillant sensuellement. Sa main glissant sous ma robe pour aller caresser mes lèvres.

- Toujours prête à ce que je vois mademoiselle James. Remontant sa main trempé jusqu'à sa bouche pour me goûter.

Devant l'ilot de la cuisine en bois massif, je fus projeté, les seins écrasé contre le bloc froid

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Devant l'ilot de la cuisine en bois massif, je fus projeté, les seins écrasé contre le bloc froid. Il dégagea son pantalon et de ses fortes mains, m'agrippa les cuisses afin de les relever à son niveau. Sur ce point, il est belle et bien le même mec. Ses instincts sont forts et ses désirs immédiat. J'aime la force avec lequel il me transmet physiquement ses émotions. Il n'y a pas meilleurs moyen de démontrer un désir vif que l'impact d'une baise précipité. Me pénétrant violemment,frappant mes fesses de son bassin à chaque coup. Mes seins qui frottent sur l'ilot. Me retentant sur le contour afin d'intensifier ses coups. Le suppliant d'y aller encore plus fort pour assouvir toute cette chaleur qui me brûle à l'intérieur.

- Il y a rien d'aussi délicieux que toi. Souffla-il en continuant les coups en moi.

- Viens pour moi ! Je veux te sentir jouir. M'ordonne-il avec un ton exigent, sentant le besoin de me voir jouir pour lui.

Il n'en fut pas plus pour exploser et recevoir du même coup sa propre jouissance en moi.

- Je ne veux plus jamais gouter un autre homme que toi! Dis-je en reprenant mon souffle.

- Je t'amène prendre un bain, allez! En me prenant dans ses bras jusqu'à la salle de bain.

- Laisse-moi au moins reprendre ma respiration.

Je crois n'avoir jamais vue une salle de bain aussi magnifique. Le mur extérieur, remplacé par une vitre immense givré donne une clarté à cette pièce, dominé par une douche aussi immense que ma chambre chez Max. Un grand bain fait en ce que je crois être du béton ciré donne un effet épuré et industrielle tout à fait magnifique.

Couché sur lui dans la baignoire, en silence, a simplement se caresser en écoutant les bruits de l'eau, j'ai le sentiment que rien n'a changé entre nous

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Couché sur lui dans la baignoire, en silence, a simplement se caresser en écoutant les bruits de l'eau, j'ai le sentiment que rien n'a changé entre nous. Je sens beaucoup de réserve de la part de Zack sans en savoir la raison exacte, mais pour le moment plus rien ne compte, à l'exception de nos deux corps soudé.

Sortant d'un rêve où deux corps se contractent l'un contre l'autre. Je me réveille après une nuit avec Zack dans son immense lit. Je comprends rapidement, que mon rêve n'est pas complètement imaginaire. Étendu derrière moi. Caressant mon dos de son torse pileux. Mon homme est déjà en train de se faire aller en moi. Le frétillement dans mon ventre se développe de façon fulgurante. Les coups guidés de Zack, entre mes cuisses. Sa main vers mon bas ventre pour aller stimuler ma pointe. C'est la première fois que je me fais réveiller ainsi. C'est brutal, déplacé et carrément existant. Tous mes sens son en confusion. Une partie de mon corps dort encore et une autre veut exploser. Je n'ai pas encore la force de provoquer les coups mais Zack s'en charge à merveille. J'ai l'impression qu'on abuse de moi sans avoir reçu mon consentement. Je sens les courants me traverser le corps pour m'indiquer la proximité de cette jouissance. Quelque série de bassin et cela suffit à provoquer un orgasme simultané de nos deux corps en fusion.

- Bon matin jolie demoiselle.

- Dit moi qu'il est trop tôt pour se lever et que je peux rester ainsi encore longtemps. Suppliai-je entre deux grandes respirations.

- J'aimerais bien répondre au désir de madame, mais j'ai mieux.

Se détachant de moi, il m'enroule dans les draps chauds et m'amène sur la galerie, juste à temps pour contempler le lever du soleil à l'est du lac.

- Yé! on est quétaine à deux.

La vue en encore plus magnifique qu'hier, avec tous les rayons qui traverse le lac vers nous. Je suis encore plus heureuse de constater l'attention qu'il a porté à notre discussion de la veille.

- Répète sa à quelqu'un et je te baiserai jusqu'à la mort!

- ZACK WELLINGTON EST QUÉTAINE! Hurlais-je à tout-tête, comme si je m'annonçais à une population toute entière.

- Tu vas souffrir terriblement!

En me chatouillant sur les côtes comme pour m'attaquer.

- Ok, je me rends, je me rends!

- Tu veux déjeuner, Richard nous a laissé plein de bonne chose.

- Je meurs de faim!

- Moi qui croyais que tu voulais rester au lit tout à l'heure?

- Tu as su bien me réveiller il faut croire.

De retour dans la somptueuse cuisine, je prépare deux cafés pendant que Zack sort des croissants, des fruits et du chocolat.

- Vous prenez votre café noir Monsieur Wellington?

- Vous me connaissez trop bien, mais moi par contre je n'ai aucune idée de ce que vous prenez dans votre café!

- Analysez-moi! J'ai l'air de prendre quel genre de café?

Humm, attendez que je réfléchisse. Probablement un moka extra chocolat avec plein de crème fouetté sur le dessus avec des copeaux de chocolat et une cerise !

- J'ai l'air si cochonne que sa monsieur Wellington? Faussement offusqué.

- Non, j'avoue qu'il manque un peu de délicatesse dans tout cela! Je déclare forfait! Quelle sorte buvez-vous ?

- Toujours un latté.

- J'aurais dû y penser. Doux et léger comme vous.

- Haha , tu essai de te reprendre pour la version cochonne.

- Allons déjeuner sur la terrasse.

- Bonne idée Zack.

Durant le déjeuner, le visage de Zack s'assombri de plus en plus. Quand nous avons quitté la maison pour repartir vers Montréal, la tension était tout simplement invivable.

- Merci pour les beaux moments Zack!

Essayant de détendre un tant soit peu l'atmosphère. Mais sans succès, il reste complètement silencieux. Le trajet est long et pénible. Pourquoi toute cette frustration. Je suis consciente que je ne suis pas volontairement la cause de cette fermeture mais je n'arrive pas à mettre en place toutes les cartes du jeu. Hier, nous filions le parfait bonheur et maintenant il ne me répond même plus.

... À suivre demain!

APRÈS 12 ANS     ( TERMINÉ )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant