APRÈS 12 ANS ( TERMINÉ )

Partie 22

Ma tête est adossé à l'épaule chaude de Zack qui conduit la voiture. Nous sommes présentement sur le chemin du retour, le soleil a peine levée et je somnole sur lui en attendant d'arriver à Montréal.

- Vas-tu au café ce matin?

- Oui, je me sens mal de ne pas avoir été donner mon coup de main hier. Je vais allez faire au moins le rush du matin.

- Les filles sont chanceuses de t'avoir!

- Tu me là déjà dit. J'aime bien travailler avec eux.

Même si je ne suis pas partenaire avec eux, j'en apprend beaucoup sur la gestion de commerce et si je veux un jour ouvrir mon affaire avec Maria, ou ici, me dis-je hésitante. Comment se fait-il que je pense a peux-être resté ici. C'est un peu trop rapide, mais je me vois pas être séparé à nouveau de Zack. Je ne pense pas que je pourrais y arriver.

- Tu auras deux minutes par contre pour venir avec moi à mon bureau? J'ai quelque chose pour toi. Me demanda Zack.

- Oui bien-sur ! A condition que ce ne soit pas un autre cadeau, ça ma tout pris pour ne pas te renvoyer les derniers! Je ne me laisserai pas être une poulette gâtée d'un riche charmeur.

- Dit sa encore une fois et je te débarque sur le bord du chemin! Répliqua-il sur un ton de menace ratée et fini par éclaté de rire.

Rendu à son bureau, Zack m'interdit de s'approcher de lui dans l'ascenseur, se plaignant de ne pas vouloir paraître ridicule devant ses employés deux jours de suite. Fessant référence a son érection de la veille. Je sorti de l'ascenseur en rigolant et salua les deux réceptionnistes.

- Attends moi ici Gamy, j'en ai pour deux minutes. Me demande Zack tout souriant.

Je tournais dans le halle, tout en observant au tour de moi quand je l'ai vue. Ma peau devenu blanche, je failli perde pied quand mes jambes voulu me lâcher. Je me soutenu sur un fauteuil et regarda de nouveau pour être bien certaine.

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Sans savoir où allez, je repris l'ascenseur et appuya sur le bouton de fermeture des portes avant de voir Zack, avec un regard d'incompréhension visé vers moi. Je couru vers la sorti et m'arrêta devant l'hôtesse au gros seins. Prenant les clés de la lotus qui me brûlait les doigts.

- Mademoiselle, j'ai trouvé ses clés sur l'étage de Zack Entreprise. Sa doit être à l'un de leurs employés.

Je n'attends pas sa réponse et fila vers la sortie de peur que Zack me rejoigne. Aussi tôt  que l'air extérieur frappa mon visage, je senti mes larmes couler sur mon visage. Je devais pleurer déjà depuis un bon moment mais je ne m'en était pas encore rendu compte. je descendu la rue afin de chercher un endroit tranquille pour reprendre mes esprix. Il est hors de question d'allez au café ni chez Max, sachant que Zack irais là en premier. Deux coins de rue plus bas et je passa les portes d'un grand hôtel.

- Bonjour monsieur, je désir une chambre rapidement. Je suis exténué et ne veux pas attendre.

L'homme dernière le comptoir paru surpris mais garda le silence et je le remercie en silence, lui tendant ma carte de crédit pour accélérer le processus.

- Madame James, nous avons là 256 de libre immédiatement et vous pourrez rester le temps que vous voudrez. Quand vous serez bien reposé, appeler-nous à la réception pour nous confirmer la durée du séjour que vous serez en notre compagnie.

Une fois arrivé à la chambre, je me laisse tombé dans le lit et éclate en sanglot que j'arrivais à peine a retenir.

Comment avait-il osez faire sa.

Voir le nom de la filière de Zack affiché au mur. La même qui avait acheter nos condos à ma mère et moi. J'aurais bien du me douter qu'au prix offert pour nos immeubles, quelqu'un devait avoir comploté. Je sais très bien qu'il devait être au courant de la transaction. Il là si bien dit hier au téléphone à Marley. Il fonctionne seul.

j'arrive pas a mettre les choses en place. Il a racheter les condos en espérant que je rampe à ses pieds sans le moindre effort. Sans n'être jamais venu me voir en douze ans.

J'entend mon téléphone sonné mais je refuse de lui répondre. 20 appels manqués depuis que je suis parti. Amy et Max viennent également de se joindre a lui pour me harceler. Je n'ai pas la force de parler à mes amies, sachant très bien qu'elles vont me demander des questions aux quelles je n'ai même pas les réponses. J'ai l'impression d'avoir été acheté. Comme si l'argent pouvait conquirent un coeur. Il doit être salement imbu de lui même pour croire que je n'en saurais rien et qu'il pouvait jouer avec moi comme il veut.

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Cela fessait trois jours que j'étais enfermé dans la chambre d'hôtel, là à simplement dormir. j'avais essayé de manger mais ma gorge se refermait comme une huître sans être capable d'avaler une seule bouchée. Je savais très bien que je ne pouvais pas rester ici indéfiniment. Mais j'avais aucune idée d'où je pouvais allez. Il était hors de question que je retourne près de mes amies, étant sur de le voir rappliquer. Je n'était pas prête à entendre ses explications. Je me sentais trop trahis. J'avais fermé mon cellulaire. Convaincue qu'il trouverait avec un autre moyen de riche contrôlant de me retrouver. désespéré, je composa la réception et leur demanda de me booker un avion en direction de Cancun dans les plus brefs délais, peu importe le prix du vol. Et un vol simple, pour répondre à la question du gérant.

Je pris un vol direct 4 heures plus tard, coincé en sardine avec des voyageurs beaucoup trop heureux a mon goût. n'ayant aucun envie de faire la discution. j'installa mes écouteurs et me ferma les yeux tout le long du trajet sans jamais m'endormir.