Chapitre 17: une famille spéciale

674 37 3
                                    

PDV Karol:
On était près. En retard, encore une fois, à notre rendez-vous. Il ne nous en voulaient pas, ils avaient pris l'habitude. En arrivant on disa bonjour à tout le monde. On se recula et je pris la main de Ruggero. Tout mes amis voyais que je n’allais pas bien.
Valentina: Karol, tu va bien?
Karol: Non pas vraiment. On a un truc à vous dire.
Carolina: Quesqu’il y a?
Malena: Tu nous fais peur...
Augustin: Aller, accouche Karol!
Ruggero lui fit les gros yeux mais il ne comprena pas pourquoi. Je soufla un grand coup, regarda Ruggero et leva la tête dans leur direction.
Karol: Je me suis fait avorter.
Ils étaient tous bouche bée. Les fille commençaient à pleurer. Tout le monde venait nous faire une câlin. J’étais heureuse d'avoir des amis comme eux mais s'en était trop. Je partie en courant et en sanglot vers chez Ruggero. Il me rattrapa.
Rugge: Pourquoi tu es partie?
Karol: Je n'en peux plus. C trop. J’ai perdu la chose dont j'étais le plus fière,  mon rêve, Rugge. Je le voulais tellement de cet enfant
Rugge: Vien là.
Il me pris dans ses bras. C’est la où je me sentait le mieux. Il avait un dont. Dès que j’étais dans ses bras ou juste avec lui tout allait mieux. Il n'y avait que nous deux et l'amour que l'on se portait l’un pour l’autre.

PDV Ruggero:
Un mois s'était passé. Aujourd'hui, on s'était petit à petit remis de ce qui nous est arrivé précédemment enfin... Nous n'en parlions pas. Je savais que ça rendrait Karol triste, donc j’évitais le sujet. Je ne dis pas que ça ne m’a pas rendu triste, mais c’est différent. Karol pleure beaucoup plus facilement, elle est plus sensible. Moi je la console. Bien sûre que j’ai eu et j’ai envis de pleurer quand j'en entend parler mais je me retiens pour elle, pour pouvoir la consoler. On toqua à la porte, j’alla ouvrir et la..... quesqu’ils font là?
???: Comment vas tu, chéri?
Rugge: Très bien, merci. Mais quesque vous faites là?
???: On est venu rendre visite à notre fils, quelle question.
Rugge: C’est gentil mais là, maintenant je peux pas.
Je n’eu pas le temps de finir ma phrase que mes parent étaient déjà rentrés.
Rugge: Karol, je te présente mes parents. Papa, maman, je vous présente Karol, ma copine.
Karol: Bonjour, enchantée de vous rencontrer.
Elle tenda la main à mes parents pour dire bonjour mais ils l’ignoras.
MDR (maman de Ruggero): Quoi? C’est elle ta copine? Tu aurais pas pu tomber plus bas.
Karol (prenant sur elle pour pas s'énerver): Merci je vous retourne le compliment.
MDR (toujours en l’ignorant): Tu nous offre même pas à boire?
Ils s'installaient sur le canapé. Je leur servi de l'eau. Je ne voukait pas les inviter à boire, ni à manger après les réflexions faites à Karol de leur part. Karol ne disait rien et je la comprenais.
PDR (père de Ruggero): Sinon depuis combien de temps êtes vous ensemble? Je veux tout savoir.
Ruggero: Ça fait un certain moment que nous sommes ensemble et sinon rien de spécial. A part...
Je regarda Karol qui me fit un signe de tête qui répondait à ma question. Elle me donna la main et la serra de plus en plus fort.
Ruggero: Karol est tombée enceinte mais elle s’est fait avorter suite à un accident de voiture.
Je lâcha ça d'une traite. Karol explosa en sanglot dans mes bras. Je lui fit u câlin.
PDR: Je suis désolé pour vous les enfants.
Karol: Merci, ce n'est rien.
MDR: pfff.... Tu m'avais dit que tu aurais des enfants avec la femme de ta vie.
Ruggero: Je sais et je fais ce que je dis. Karol est la femme de ma vie.
MDR: Bah dit donc, c’est l'idée la plus ridicule que tu n'as jamais eu. Encore heureux qu’elle ai avorté.
C'était la phrase de trop. Karol explosa. Je ne l'avais jamais vu aussi en colère. Elle se leva et cria.
Karol: C’EST BON? VOUS AVEZ FINI AVEC VOS REMARQUES DÉSAGRÉABLES? ET SANS VOUS MANQUER DE RESPECT, QUOI QUE, APRÈS TOUS VOS COMPLIMENTS JE M’EN FICHE ROYALEMENT, VOUS ALLEZ RAPIDEMENT SORTIR D’ICI SI VOUS NE VOULEZ PAS QUE ÇA SOIT MOI QUI VOUS FASSE SORTIR!!!
MDR: Pour qui vous prenez vous pour me parler comme ça. Vous n'avez aucun droit sur moi, vous n'êtes pas chez vous.
Rugge: Un, si elle a le droit car elle est chez elle, deux, après ce que tu lui as dit j'estime qu’elle est encore trop gentille et trois, si c’est pas elle qui te vire de mon appart, c’est moi qu’il le ferait. Tu connais la sortie, au revoir.
J’avais rejoins Karol et ma main retenait sa hanche.
MDR: Mais enfin tu ne peux pas faire ça à ta mère. De toute manière votre couple ne durera pas.
Rugge: Si je peux le faire, la preuve je le fais. Et notre couple durera autant de temps que l'on s’aimera et ce n’est pas ma saleté de mère que me séparera de mon coup de foudre.
MDR: Ton coup de foudre, il n'existe pas et tu n’a connais rien en l'amour alors ce n’ai pas toi qui va me donner des leçons!
Rugge: En tout cas, j’y connais plus de chose que toi en amour. Parce que, l'amour ce n'est pas se pointer à l'improviste chez son fils pour faire des remarques à sa copine. Et pour tout te dire mon coup de foudre il existe. Il est juste à côté de moi et elle s'appelle Karol Sevilla.
J’embrassa Karol et ma mère partie. On se décolla et je lui chuchota un je je t’aime" à l'oreille.
PDR: Je suis désolé pour ce qui s’est passé. Sachez que vous former un très joli couple et je suis fièr que mon fils soit tombé amoureux d'une fille comme toi, Karol.
Rugge: Merci papa.
Karol: Merci. Je ne sais pas quoi vous dire.
Il sourit et nous fit chacun un bisou sur le front et parti. Mais Karol lui retenie le bras.
Karol: Revenez quand vous voulez.
Rugge: Ah ça oui, tu as plutôt intérêt à revenir me voir.
On rigola bêtement.
PDR: Bien sur que je reviendrais vous voir. A bientôt les enfants.
Karol: Au revoir et merci encore.
Rugge: À bientôt papa.
On se fit coucou de la main et il parti.

Dans les logesWhere stories live. Discover now