Julian {BxB} {Terminé}

My Best Friend

Quand j'arrive chez Berrys, elle me demande si je veux dormir avec elle, et j'accepte, je n'ai aucune envie de dormir seule. Alors je pose mes affaires dans sa chambre, prend ma serviette, ma brosse à dents et mes habits, et je par me laver.

Une fois fini, je sort de la salle de bain et part rejoindre sa chambre. Puis, Berrys part se laver à son tour. Ça m'avait manquer de venir chez elle, de regarder des séries ou des films qui correspondent à notre humeurs.

Je range mes affaires dans mon sac et Berrys ne tarde pas et arrive quelques minutes après. On s'allonge dans le lit une fois qu'elle a finit de ranger ses affaires.

Berrys: Ça va mieux?

Julian: Oui merci.

Berrys: Pourquoi?

Julian: Pour tout.

Berrys: C'est normal. Tu devrais dormir.

Julian: Bonne nuit Berrys.

Berrys: Bonne nuit Julian.

Il ne me faut pas plus pour dormir quelques minutes plus tard.

Lorsque je me réveille, je me rend compte à quel point mon rêve était insensé, j'ai rêvé que Berrys était un garçon, et qu'elle ou il m'aimait. Je sais que c'est bizarre, mais c'est pas grave, je ne choisi pas mes rêve après tout.

Quelques minutes après que je me sois ressassé mon rêve, Berrys commencent à se réveillé, enfin, j'adore vraiment cette fille mais c'est une vrai marmotte, elle hiberne même, pendant l'été elle ne sort presque jamais. On décide de descendre en bas pour aller manger, et je suis à peine sortit de sa chambre que je sens déjà l'odeur du bacon grillé, des œufs grillés et des galettes de pommes de terre: le parfait petit déjeuner à l'Américaine, comme j'aime.

Quand j'ai fini de me goinfrer, moi et Berrys on monte dans sa chambre pour se préparer pour aller en cours, on se lave, se brosse les dents, elle prend presque quinze minutes pour se coiffer les cheveux, alors que moi je prend une minute. Une fois qu'on est tout les deux prêts, on part prendre le bus, et temps mieux parce que une minute de plus et on le ratait. Dans le bus, je la taquine en lui disant que si elle n'avait pas passer un an à se coiffer, on aurait pas eu à se dépêcher. Je crois qu'elle est énervé, vu la tête qu'elle fait, je n'arrive pas à m'empêcher de rire, et je voit petit à petit, qu'elle se retient de rire pour me faire croire qu'elle est fâché mais c'est trop tard, elle à rigoler.

Quelque arrêt plus tard, Berrys s'arrête de rigoler et regarde à l'entrée du bus, je décide donc de regarder ce qui la préoccupe autant, et, je vois mon frère et Sam monter dans le bus. Mon sourire disparaît bien vite, après avoir vu mon frère qui me sourit comme si de rien était. Je me crispe et tourne le regard vers Berrys, je n'ai aucune envie de le voir après ce qu'il a dit.

Tout le long du trajet, Berrys à essayer de me faire oublier la présence de mon frère grâce à ses blagues carambar. Et, le pire c'est que c'était tellement drôle, que j'en ai pleuré de rire tellement j'en pouvait plus. J'ai tellement honte de moi maintenant, mais dès que j'y repense, j'ai encore envie de rire, cette fille est trop doué pour me remonté le moral, même avec la pire manière qui sois.

Une fois arriver au lycée je me dépêche de partir, je n'ai aucune envie de parler avec l'un comme l'autre. Je sais que Sam ne m'a rien fait mais, il va essayer de me convaincre de parler à mon frère, et le pire c'est que ça va marcher, je ne peut rien lui refuser, et je me déteste pour ça.

Avec Berrys on a juste le temps de passer au casier, et j'ai encore reçu un mot de mon admirateur secret, j'ai de plus en plus envie de savoir c'est qui, c'est pas de la curiosité, je montre juste un peu d'intérêt pour quelqu'un que j'intéresse. Je commence vraiment à me dire que c'est le nouveau, je vois pas qui ça pourrait être d'autre, vu que tout le monde sait que je suis gay ça ne peut pas être un fille.

Puis, on part en cours, alors que ce misère me trotte encore dans la tête. Je sais à qui demander, je vais demander à celui ou celle qui fait le journal du lycée de mener des enquêtes pour moi. Même si je n'ai aucune idée de qui ça peut être étant donné que le journal du lycée ne m'intéresse pas plus que ça.