CHRONIQUE : « KIDNAPPÉE PUIS SOUMISE À LUI »

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MOI : ARRÊEEEETEEE PUTAIN LAISSE MOI TRANQUILLE JE VEUX PAS!!!!

ABDEL : Ferme la! *sec*

Il continue de me tripoter sans écouter ce que je lui disais ce qui ne fait qu'empirer mon état.

RÉVEILLEZ-MOI DE CE PUTAIN DE CAUCHEMAR S'IL VOUS PLAIT J'EN PEUX PLUS POURQUOI JE DOIS SUBIR TOUT ÇA HEIN POURQUOI???

J'étais tellement en panique que j'en ai fait une crise et je me suis évanouie..

(...)

J'ouvre les yeux puis je regarde autour de moi. Qu'est-ce que je fou ici??

J'essaye de me rappeler de ce qu'il s'est passé mais mon dernier souvenir reste que j'étais sur le point de me faire abuser par Abdel dans une pièce en haut...

Je me regarde précipitamment et comment vous dire que j'étais en sous vêtements... Je me tiens la tête à bout. I-il m'a violée? Je sais même plus quoi penser putain!

Je repense à tout ce que je subis depuis que je suis ici en fixant le vide, wAllah j'ai envie de pleurer toutes les larmes de mon corps..

Je reste dans cet état pendant un long moment avant que votre Boss ne fasse son apparition. J'étais adossée contre le mur, et dès que je l'ai vu approcher je me suis directement relevée et j'ai essayé de me couvrir comme je pouvais.

Je le regarde avec tellement de haine que ça le fait rire. Je me dirige vers lui sans réfléchir et je me mets à le frapper et à l'insulter.

MOI : ESPÈCE DE GROS MALADE POURQUOI TU FAIS ÇA PUTAIN POURQUOI??? DIS MOI C'QUE JE T'AI FAIT QU'ON EN FINISSE!!!

Il attrape mes poignets et il les serre d'une telle puissance que j'ai cru qu'il allait me les briser. Je lui ai demandé de me lâcher plusieurs fois mais il ne le fait pas tout de suite.

Il me regardait me débattre et quand il en a assez vu il lâche mes poignets et il me gifle tellement fort que je perds l'équilibre et je tombe en arrière.

J'en avais tellement marre que je me suis mise à crier de nerfs. Amir s'est vite jeté sur moi pour me faire taire. Il a attrapé mon cou pour relever ma tête puis il s'est mis à m'étrangler.

MOI : A-arrête...

AMIR : FERME TA GUEULE!

J'arrivais pas à me taire j'étais vraiment à bout c'était plus fort que moi. Il m'a donc étranglée encore plus fort et il a sorti un truc de sa poche j'ai pas pu voir ce que c'était.

Il me re gifle mais plus il faisait ça plus je criais de douleur ce qui ne lui plaisait pas.

D'un coup sans que je m'y attende je sens un truc brûlant sur mon corps donc je me mets à crier encore plus fort.

AMIR : FERME LÀ OÙ JE TE BRÛLE ESPÈCE DE FOLLE!!!

Putain mais c'est un gros malade il est entrain de me brûler avec un briquet. Pendant que je respirait à toute vitesse il continue de me brûler un peu partout sur mon corps.