Anna 20 ans a décidée de tout plaquer dans sa ville natale de ChristChurch pour aller vivre sa nouvelle vie à Auckland. Elle laisse donc son université, ses amis, ses parents, sa famille bref tout. En arrivant à Auckland elle retrouve très vite une...
Nadia : T'es sérieux Lyam ? Tu as osé lui faire LA demande que j'attendais tant de ta part ??!!
Lyam : De toute façon, tu aurais attendue longtemps vu que je ne te l'aurais jamais faites. Je ne t'aime pas Nadia, du moins je ne t'aime plus alors maintenant arrête de toujours venir te mêler de nos affaires.
Elle me regarde avec des yeux remplis de haine et lève sa main qu'elle s'apprête à coller contre ma joue mais Lyam l'arrête en plein élan.
Lyam : Nadia, je te préviens, ne t'avises plus jamais, mais plus jamais de t'approcher d'Anna et de lever la main sur elle, sinon je te garantie que je ne resterai pas sans rien faire, dit-il froidement
Il relâche violemment sa main avant de prendre la mienne et de nous tirer loin d'elle. Quand on était enfin éloignés d'elle je m'arrête faisant Lyam s'arrêter également. Il se retourne et me regarde.
Lyam : Anna ?
Moi : Lyam franchement ne te prend plus la tête pour elle.
Lyam : Je ne me suis pas pris la tête avec là.
Moi : Un peu si et je te connais tu es énervés.
Lyam : Mais non enfin Anna.
Moi : Je te connais je t'ai dis.
Il tire sur ma main et me rapproche de lui, il baisse les yeux et me fixent.
Lyam : Bon d'accord elle m'a énervée mais je te jure de ne plus me prendre la tête pour elle.
Je me contente juste de lui faire un énorme sourire avant qu'il vienne me donner un baiser rapide et on repart pour notre promenade.
En revenant sur le parking de mon immeuble je commence à partir mais il m'arrête et tire sur ma main qu'il n'avait pas lâché.
Lyam : Tu allais vraiment partir sans me dire au revoir là ?
Moi : Haha non du tout ! dis-je sur un ton ironique
Lyam : Dis moi ..., dit-il en passant ses bras sur ma taille
Moi : Hum ?
Lyam : Tu comptes l'annoncer quand aux autres ??
Moi : De ? Qu'on est de nouveau ensemble ?
Lyam fait un hochement de tête et je rigole.
Moi : Laissons cette semaine passer, et s'ils ne remarquent vraiment rien alors on leur dira.
Il se contente juste de rire et il se penche pour m'embrasser une dernière fois avant de me lâcher et me laisser rentrer chez moi tandis qu'il repart chez lui.
Le lendemain je vous avouerais que je n'ai pas trop assumée mon réveil. Enfin bon, j'étais en train de mettre ma veste avant de partir.
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