L'arrivée au capitol

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Marie:" Et encore, tu n'as pas vu l'intérieur ! Viens vite, tout le monde t'attends à bord." Elle se dirige vers la porte du wagon et grimpe gracieusement à bord. Je m'apprêtais à monter lorsque soudain, je suis pris par une sorte de paralysie. Je tourne la tête pour regarder une dernière fois vers mon district. Y retournerais-je seulement un jour...? Un coup de sifflet met tire de mes pensées, et me ramenant à la dure réalité. Je monte donc à bord de l'énorme machine. A peine à bord, une foule de personnel viens à ma rencontre.

personnels:"Bonjour, mon grand, tu as soif ? faim ? Désires tu un café ? Suis nous, tes amis sont assis dans le wagon suivant !" A toutes ces questions je suis seulement capable de répondre: "Euh... J-je..." Mais je n'ai rien à répondre, puisqu'ils me poussent gentiment dans le wagon vers le carré de sièges où étaient déjà assisent Julie et Marie. Je regarde Julie. C'est vrai que depuis le début, je ne l'ai même pas regardé. Elle avait l'air terrorisé elle aussi, et semblait avoir pleuré, surement avec sa mère. Je m'assis donc à côté d'elle, puis le personnels du train s'en va. Marie, sirotant une tasse de thé nous regarde en souriant. Soudain, une légère secousse se fait ressentir et ça y est... nous sommes partit...

Marie:"Ouh... on est partit ! Vous allez voir les enfants, c'est magique, plusieurs centaines de kilomètres à l'heure sans même s'en apercevoir." Julie et moi ne levons pas la tête, en fait on ne veut même pas regarder dehor, voir notre district s'éloigner à l'horizon. Voyant qu'un malaise certain s'installait, Marie reprend.

Marie: « Je vais vous présenter Agathe, C'est votre mentor. Ca sera elle qui vous enseignera les techniques de survie et les conseils qui lui ont permit de remporter ses jeux, elle à gagner les 58ème Hunger Games, vous ne devez pas vous en souvenir. » Si. Je m'en souviens très bien même. Elle à gagner car elle était la seule tribut à ne pas avoir manger des fruits magnifiques et appétissants qui pendaient de tous les arbres de son arène. Flairant l'embrouille, car les Hunger Games, ne s'appelleraient pas comme ça si la nourriture était aussi facile à trouver, n'en à pas mangé et s'est nourrit uniquement de poisson. Les autres tributs sont alors tous mort les uns après les autres en moins de 48 heures, empoisonnés par ces fruits mortelles.

La porte du wagon s'ouvre et là où je m'attendais à voir une jeune femme pleine d'énergie je vois entrer une petite brune, le visage marqués de cernes comme si elle ne dormait jamais. Elle ne nous regarde même pas et va s'assoir sur la banquette opposé à la nôtre. Un long, très long, trop long silence en suit. Julie et moi nous regardons l'air légèrement gêné. C'est pourtant cette femme qui est censé tous nous enseigner sur les jeux ? Pourquoi se comporte-t-elle comme ça ? Julie prend son courage à deux mains et brise la glace.

Julie: « Euh... b-bonjour... Agathe, c'est ça ? » celle ci redresse furtivement la tête pour regarder Julie, puis la rabaisse. On avait l'impression qu'elle était dépressive et à moitié folle. Ses cheveux bruns ébouriffés collent parfaitement avec cette idée. Julie me regarda, mal à l'aise. Cette fois ci c'est moi qui m'adresse à elle.

: « Bon, qu'est ce qu'on doit savoir ? » Cette fois elle ne daigne même pas lever les yeux mais prend un verre sur le bar et le remplit d'eau, avant de sortir d'une boîte trois petit cachet blanc. Elle les avale rapidement avant de faire un bruit proche de l'extase, puis pose le regard sur nous.

Agathe: « ...bon... voyons qu'est ce qu'on a cette année..? » Julie croisa son regard. Ses yeux, bien que vide de toute expression de compassion, étaient aussi perçant que des poignards. Elle détaille Julie de la tête aux pieds.

Agathe: « ...c'est quoi ton nom toi..? »

Julie: « Julie. Julie Breathwood ! Enchanté Madame. Alors c'est vous qui êtes censé nous... » Agathe baissa la tête comme si elle était saoul.

Les 68ème Hunger GamesWhere stories live. Discover now