Les Dragons Perdus ( various characters x various oc )

Chapitre 87 : neuvième nuit

La fin de la huitième nuit est arriver.
Cependant tu ne dois pas te réveiller puisque ton songe n'est pas terminer. Continus ton voyage.

Le murmure de Cheshire se perdit dans le silence sordide du palais de cœur. L'éclat des pierres précieuses qui étouffaient la porte d'entré de la chambre de Reina illuminait le visage légèrement irriter de notre héroïne. La cloche de la grande horloge résonna et cet ainsi que commença la neuvième nuit.

Encore une nuit sans me réveiller....
Je pense que je ne ferais plus jamais de nuit blanche. Murmura Maiko

Notre jolie blonde calma son agitation et elle pris une ferme résolution, celle de s'éloigner de cet endroit où du moins de Reina. Après tout le portrait que lui avait dépeint Cheshire n'était pas très rassurant et Maiko tenait à garder sa tête. Néanmoins une pensée c'était faufiler dans l'esprit de la petite muse et cette idée fit qu'elle pris un certains temps pour réfléchir.

La lettre d'Ernest doit sûrement être dans la chambre de Reina...

Dans son éprouvante réflexion Maiko recula de quelques pas et elle heurta le tableau se trouvant derrière elle. La jeune muse se retourna légèrement surprise et elle déglutit en voyant l'immense tableau qu'elle venait d'heurter. Cette imposante œuvre d'art représentait une clé d'or sur un fond noir. Ce qui attisa la curiosité de notre héroïne fus le symbole peint sur la clé, un cercle ⭕️ ou de V s'entrechoquaient, un pointant le ciel et l'autre la terre. C'était indéniablement le symbole du gardien. Pendant quelques secondes notre jeune élue oublia ses soucis et elle admira cette sublime peinture, son corps agis sans son consentement et pousser par une vive curiosité elle toucha la peinture. Suite à ce contact le petit gardien se fit aspirer par le tableau, elle eut beau se débattre l'étrange force de la peinture fus plus forte et ainsi elle se fit aspirer.

De l'autre côté du tableau se trouvait une petite penderie ou des milliers de robes luxueuses s'entassaient.

Comment j'ai pus arriver ici ?
Je ne pense que ce soit de la magie... alors comment ?

Le regard de notre élue fus attirer par un envoûtant éclat dorée, Maiko constata que la clé peinte sur le tableau se trouvait à ses pieds, étonné de cette découverte bien singulière elle pris la clé. Notre protagoniste s'aventura dans les allés de robes et de bijoux avec la charmante clé dans les mains.

Emi aurait adoré cet endroit... chuchota Maiko en contemplant les robes couvertes de fils d'or, de dentelles et de pierres précieuses.

Au bout de la petite penderie elle trouve un grand coffre en or massif fermer par un gros cadenas d'acier.  Notre héroïne inséra la clé dans la serrure du cadenas et elle ouvrit le coffre, à l'intérieur elle trouva une vielle note dont l'encre semblait s'effacer.

Garde robe secrète.
Quand j'étais au palais, Reina m'offrait souvent des habits, je les mettaient ici pour ne pas la frustrée.
Laisse moi t'aider, prochain gardien qui atterrira dans ce palais.
Si Reina ne change rien, la lettre se trouve dans sa chambre, dans le troisième tiroirs de sa coiffeuse en marbre rouge. La clé du tiroir est attaché autours du cou de son horrible chien, il dort au milieu du labyrinthe dans le jardin.
Bonne chance, Sassane.
PS : si tu veux passer inaperçus je pense que tu devrais te changer, les vêtements actuelles rappelle beaucoup Alice et.... Reina exècre Alice..........................................................................................................

Les 2 dernières lignes de la note avaient été complètement effacé, il ne restait plus que des taches noirs. Maiko mémorisa toutes les informations et en son fort intérieur elle remercia Sassane. La petite muse remis la note dans le coffre d'or et elle vagabonda dans la charmante penderie à la recherche d'une robe à sa taille. Elle finis par trouver une jolie robe en dentelle noir brodée d'or et de petits rubis. Maiko enleva son tablier blanc et sa robe bleu et elle se vêtis de son nouvel habit. La seule chose qui dérangeait notre héroïne était l'énorme rubis brodé sur le buste de la robe, elle finis par l'arracher délicatement et le fourra dans ses poches.