fléchettes

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Voici le chapitre tant attendu par vous (et redouté par moi) : Il y aura du Lemon !! Qui sera, bien évidemment signalé. C'est la première fois que j'écris ce type de chapitre, donc soyez indulgents s'il vous plaît ! En espérant qu'il vous plaira, bonne lecture !

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C'est alors que la porte s'ouvrit en grinçant sur un Sherlock qui manqua se faire tuer par une fléchette. Bienheureusement pour nous, ses reflexes aiguisés lui permirent de rattraper le dangereux projectile avant qu'il ne soit trop tard.

" Oups, je ne t'avais pas vu, je suis désolé ! S'excusa le meurtrier, l'air tout sauf désolé.

-Ce n'est rien Mais pourquoi tant de haine, je ne t'ai rien fait, demanda Holmes, qu'est ce qui t'as mis dans cet état ? "

Le beau brun s'avançait pendant qu'il parlait, un sourire très peu innocent, voir canaille étirant ses lèvres fines. C'est alors que Moriarty l'attrapa par la cravate, le tirant vers lui. Sherlock tenta de protester, surprit par le geste de son « collègue »

-Tu sais très bien ce qu'il y a.

William plaqua ses lèvres sur celles de Sherlock, qui fut trop étonné pour faire quoi que ce soit. Le baiser de Moriarty était fiévreux, mais il se détacha du jeune détective pour voir sa réaction, qui ne se fit pas attendre Holmes poussa William contre un mur, passa une main derrière son cou, et l'embrassa à son tour. Cette fois, les deux y participaient, l'un ne voulant pas lâcher l'autre. Leurs lèvres étaient collées tels des aimants, en réclamant toujours plus.

Un claquement se fit entendre, les interrompant : la porte avait été fermée par un Watson grommelant quil existait une chose nommée « la discrétion ».

Ils sourirent, se regardèrent : « Tu ne sais pas à quel point tu me rends fou soupira le détective en dénouant sa cravate.

-Et tu ne sais pas à quel point je suis fou de toi, répondit malicieusement le prince du crime.

-Je suppose que je vais bientôt le découvrir~ »

/!\Lemon/!\

Sur ces paroles peu rassurantes, Holmes passa sa langue sur ses lèvres et commença à déboutonner sa chemise tandis que Moriarty le dévorait du regard en faisant de même. Ils étaient torses nus, l'un en face de l'autre. Moriarty se jeta alors sur l'homme, dévorant ses lèvres avec autre chose que ses yeux Sherlock descendit sa main, caressant la bosse formée dans le pantalon de William, lui faisant pousser un gémissement plaintif. Il en profita pour glisser sa langue près de celle du jeune homme. Elles se rejoignirent alors, les entrainant dans un baiser autrement plus passionné, les laissant essoufflés et haletants.

Sherlock continua ses baisers dans le cou de son partenaire qui poussait de petits gémissements. Ce dernier, ne voulant pas se laisser faire, passa ses doigts fins et déliés sur le torse musclé de Sherlock, puis s'amusa à déboutonner la braguette de celui-ci. Lentement, très lentement, trop lentement au gout de Holmes qui grogna. Moriarty rit mais n'accéléra pas pour autant, profitant de l'emprise qu'il avait sur lui avant de lui murmurer à l'oreille :

« -Impatient, hein ? Si tu tente quoi que ce soit, tu n'auras strictement rien~~

-Tu crois vraiment pouvoir m'en empêcher ? C'est bien mal me connaître... »

Le pantalon fut enfin abaissé et Moriarty sourit devant le caleçon prêt à craquer de Sherlock Il caressa son érection, provoquant des gémissements déjà beaucoup plus satisfaisants. Dans un grognement, Holmes fit basculer un William surprit sur le lit, tout en lui enlevant caleçon et pantalon.

« -Ne joue pas avec le feu avec moi, tu risquerais de te brûler, lui susurra le jeune homme, désormais au-dessus de lui.

-Je ne vois pas de quoi tu parles, nia l'autre. »

Moriarty enleva brutalement le dernier vêtement de Sherlock avant de prendre son membre en main, commençant des allers retours vigoureux, enroulant ses doigts autour de celui-ci. Il accélérait de plus en plus, puis, il s'abaissa et le prit en bouche, sa langue passant et repassant sur la virilité de Holmes.

-Gnn~ Je Je ne tiendrais pas longtemps à ce ryt- han !

Moriarty sentit un liquide épais et blanc couler dans sa gorge.

-Tu vas me le payer, comte de mes deux, s'exclama néanmoins le détective !

Sherlock enfonça alors deux doigts violement en Moriarty, le faisant crier de douleur. Il remua ses doigts, en enfonça un troisième tout en masturbant un William enivré de désir.

Lorsqu'il sentit son cher coéquipier se détendre, il se positionna et rentra son membre en un coup sec, faisant pousser un râle de plaisir à Moriarty. Le jeune homme commença ses vas et viens, tout d'abord doucement, pour que William ne souffre pas trop, puis de plus en plus sauvagement. Il continuait à masturber Moriarty qui gémissait, les yeux à demi fermés, la langue pendante. Il s'accrochait au dos de Holmes, tentant de résister à la vague de la jouissance, mais lorsqu'il entendit un grognement plus fort et bien plus sexy de Sherlock, il ne put que jouir sur le torse luisant sous leffort de celui-ci. Voyant cela, le détective accéléra la cadence, et, quelques coups de bassin plus tard, se déversa en lui.

Il se retira, et s'affala à côté de Moriarty et l'embrassa langoureusement. Mais, William n'en avait pas fini avec lui Il se redressa, et passa derrière le jeune homme, en le mettant à quatre pattes sur le lit.

-Tu crois vraiment que je vais en rester là ? Questionna Moriarty. Non, ce serais injuste pour moi, tu ne crois pas ?

A ces mots, sans aucune préparation, il pénétra Sherlock, qui réprima un hoquet de surprise. Moriarty commençait à son tour les à-coups, tenant Holmes par les cuisses puis se pencha et embrassa à multiples reprises le dos de son compagnon, y laissant des trainées de salive. Celui-ci poussa soudain un gémissement plus fort, sentant la virilité de Moriarty toucher un point en lui qui lui procura un plaisir sans nom, William remarqua cela et prit le membre de Sherlock et le massa, tout en s'appliquant à atteindre ce point à chaque coup de bassin.

Leur délivrance ne tarda guère à venir, et les draps furent bons pour la poubelle.

Une fois encore, ils se retrouvèrent côte à côte, tentant de reprendre leur souffle sur le lit défait :

-Sherlock, dit Moriarty avec le plus grand sérieux, je t'aime.

-Moi aussi. Répondit Sherlock en se retournant vers lui.

Ils s'embrassèrent tendrement puis se blottirent dans les bras l'un de l'autre et s'endormirent. Ils auraient tout le temps de penser à cette idylle dangereuse le lendemain, tout ce qui comptait à présent, c'était le fait qu'ils s'aimaient et qu'ils se sentaient bien.

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Quand je l'ai relus, je me suis vraiment dit : "je commence à regretter cette décision. Néanmoins, je pense que c'est un peu tard pour annuler..."

Dites moi si ça vous a plu !!

Moriarty x SherlockWhere stories live. Discover now