Dans la tête d'Alia

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Les portent s'ouvrent sur un homme que je reconnais.

Tony : Bienvenu à l'étage des Avengers ! J'attendais votre visite avec impatience mademoiselle Andrews. Il me tend la main.
Moi : Je vous en pris, appelez moi Alia.

Je lui rends son sourire en lui serrant la main. Je suis impressionnée par sa prestance d'homme très sur de lui mais à la fois très ouvert. Quand on connaît son palmarès on est intimidé mais il dégage quelque chose qui fait que nous avons envie de discuter avec lui.

Tony : Bien alors suivez-moi. Nous allons allez dans mon bureau.

Je le suis et on arrive dans une grande pièce entourée de murs en verre. Il n'y a pas beaucoup de meubles. La décoration est très simplissime et épurée. Seul les écran d'ordinateurs donnent de la couleur à l'endroit. Ca me change drôlement des meubles en bois de mon appartement.

Moi : C'est ça votre bureau ?!

J'admire également le paysage. Il y à tellement de mur en verre que je peux voir les grandes fenêtres du couloirs qui nous sépare du jardin extrérieur. C'est magnifique et lumineux. Le terrain devant nous est immense, il doit faire plusieurs hectares. Pour mon plus grand bonheur, je me détends un peu.

Tony : J'appel cette pièce mon bureau, après tout, c'est moi qui ai dessiné les plans de l'étage et je suis clairement la personne qui passe le plus de temps içi.

J'acquiesce d'un mouvement de tête ne sachant pas quoi répondre et encore bouche ouverte à contempler la pièce. Et puis c'est tout à fait logique que cette pièce devienne son bureau, je ne vais pas contester. L'homme va au centre de la pièce debout derrière un bureau d'écrans et commence :

Tony : Bon, je suppose que si vous êtes la c'est que vous avez compris pourquoi je suis venu vous trouver l'autre jour ?
Moi : Heu ... j'ai ma petite idée. Mais je préfère que ce soit vous qui le dites en premier.

Je ne prends pas de risques et lui laisse la chance de parler en premier. Si ça se trouve il ne m'attend pas pour les mêmes raisons et je me trompe depuis le début.

Tony : Et bien mademoiselle Alia, je ne vais pas y aller par quatre chemins, je pense que vous êtes dotée de pouvoir que vous ne contrôlez pas encore.
Moi : Quoi, des pouvoirs ? Moi ? non je ne pense pas.
Tony : Ne nier pas l'évidence. Je sais ce que vous avez fait au centre commercial la semaine dernière.

Bon ça ne sert à rien de nier, il en sait clairement plus que quiconque. Mais peut-on vraiment appeler ça des pouvoirs !? Comme Captain America ou Hulk. Moi je suis une sorte de métamorphe. Je ne pense pas.

Moi : Pouvez-vous me dire ce que j'ai fais au juste ?

Enfin... Je sais ce que j'ai fais, la n'est pas réellement la question. Je voulais plutôt savoir comment j'ai fais ça. Et C'était quoi au juste ? Quels mots mettre sur mes actes ? J'espère qu'il comprendra le sens de ma question parce qu'elle était très maladroite.

Je le regarde timidement, je réalise à peine que je m'adresse à Monsieur Stark.

Sans répondre, il active une sorte de petite tablette futuriste qu'il sort de sa poche avant de glisser l'image avec son doigt vers son bureau. Ce bureau reflète l'image de façon holographique. J'adore. Aucune autre personne ne doit avoir ce type de technologie chez-soi. Il n'a que ici que l'on peut voir ça.

Tony : Voyez par vous même.

Il touche l'hologramme qui n'est pas une image mais plutôt une video et active le petit film. Je m'approche du bureau et y pose mon gobelet de chocolat que j'ai traîné jusqu'ici. Je n'allais tout de même pas le laisser dans la voiture d'Happy.